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Une mère de 36 ans morte dans la voiture calcinée en Beauce Le SoleilUne mère de 36 ans morte dans la voiture calcinée en Beauce - Le Soleil
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Une mère de 36 ans morte dans la voiture calcinée en Beauce Le Soleil(Berea) Myles Garrett sait qu’il est chanceux. Sa vie pourrait être très différente, voire terminée.
Prenant la parole pour la première fois depuis sa perte de contrôle au volant de sa Porsche au retour d’une séance d’entraînement de son équipe lundi, l’ailier défensif étoile des Browns de Cleveland a exprimé son soulagement d’avoir survécu à l’accident qu’il a provoqué en conduisant trop vite.
« Il n’y a aucun doute que je suis reconnaissant d’être ici », a avoué Garrett vendredi.
Garrett a subi des blessures à une épaule et à un biceps, des coupures et une rupture d’un vaisseau sanguin dans l’œil gauche lors de l’accident survenu sur une route rurale près de son domicile.
Il a promis que cet incident va l’inciter à modifier ses comportements.
« Ce sera certainement un appel à la vigilance pour moi, simplement essayer d’être intelligent en général au volant », a déclaré Garrett dans le vestiaire après la séance d’entraînement des Browns. « Ne rien tenir pour acquis. Être reconnaissant que je sois encore capable d’être ici et prendre mon temps. »
Malgré ses blessures et le fait qu’il ne se soit pas entraîné pendant trois jours, les Browns ont indiqué que Garrett représente un cas incertain en vue du match de dimanche à Atlanta.
L’entraîneur-chef Kevin Stefanski a fait savoir que le statut de Garrett sera déterminé en fonction de l’évaluation que feront les médecins. De son côté, Garrett a affirmé qu’il se porte beaucoup mieux et il n’a pas écarté la possibilité qu’il participe au duel contre les Falcons.
« Ça appartient aux soigneurs et aux instructeurs », a-t-il noté.
« S’il n’en tenait qu’à moi, j’aimerais pouvoir jouer. C’est tout simplement mon esprit compétitif et ma nature. Sur le plan physique, il faudra évaluer le tout aujourd’hui, demain et dimanche. Mais il s’agit d’une décision que nous allons prendre plus près de l’heure du début du match. »
Selon des responsables de la patrouille routière de l’État de l’Ohio, le footballeur âgé de 26 ans roulait à une « vitesse non sécuritaire » lorsqu’il est sorti de la route, s’est engagé dans un fossé et a heurté une borne-fontaine avant de faire plusieurs tonneaux.
Une femme de 23 ans qui accompagnait Garrett dans le véhicule a également subi des blessures mineures. Elle a été soignée à l’hôpital avant d’obtenir son congé.
« J’ai laissé sortir un grand soupir de soulagement parce que c’est moi qui nous ai mis en danger », a-t-il avoué.
Garrett a expliqué à des officiers qu’il croyait circuler à 104 km/h (65 m/h) dans une zone où la limite maximale est de 72 km/h (45 m/h) avant de perdre la maîtrise de son véhicule sur une route vallonnée.
La patrouille routière a déclaré dans son rapport d’accident qu’elle ne soupçonnait pas la présence de drogues ou d’alcool.
L’accident a détruit la voiture de Garrett et a ébranlé plusieurs de ses coéquipiers.
« Je pense que sur le plan émotionnel, j’ai mes deux pieds bien sur terre et j’ai mis tout cela derrière moi », a déclaré Garrett.
« Physiquement, je dois encore traiter certaines des blessures qui ont résulté (de l’accident), mais dans les faits, c’est vraiment flou. Tout s’est passé assez vite.
« Parfois, lors des deux dernières soirées, je me suis assis et j’ai pensé à certaines des différentes situations, certains scénarios, comment ça s’est déroulé. Mais sachant que je ne peux pas changer le passé, je dois juste continuer à avancer et être heureux que tout le monde va bien. »
Premier joueur réclamé au repêchage de 2017, Garrett a des antécédents d’excès de vitesse. L’année dernière, il a reçu des contraventions lors de journées consécutives pour avoir roulé à 120 m/h (192 km/h). Dans un cas, il a payé une contravention dans laquelle la vitesse a été modifiée à 99 m/h (158 km/h) dans une zone de 70 m/h (112 km/h).
Garrett a affirmé que l’accident va changer sa façon de conduire.
« Je ne pense pas qu’il faille quelque chose d’aussi radical que cela pour me dire que je dois ralentir, a-t-il déclaré. Il s’agit d’écouter mes proches, de les entendre et de comprendre que c’est sérieux chaque fois que vous montez dans la voiture. »
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Une femme de 36 ans morte dans la voiture calcinée en Beauce Le NouvellisteUn influenceur dans le domaine automobile a partagé plusieurs images impressionnantes de ses véhicules après le passage de l’ouragan Ian en Floride.
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L’homme, qui compte plus d’un million d’abonnés sur Instagram, a indiqué que sa nouvelle McLaren P1 avait été traîné hors de son garage alors que l’eau montait dans le secteur de Naples où il semble vivre.
Sur les images partagées, on peut voir la luxueuse voiture jaune dans le garage inondé puis au milieu de la rue entourée d’eau.
Jeudi, la voiture, qui vaut plus d’un million de dollars, se trouvait encore au milieu de débris selon l’influenceur qui semble se prénommer Ernie.
Il a aussi partagé une image de sa nouvelle Rolls Royce qui semblait abîmée par le passage de la tempête.
Un peu plus tôt cette semaine, le passionné de voitures avait partagé des images de son nouveau véhicule, précisant qu’il n’avait que 300 miles (environ 482 kilomètres) au compteur.
Des milliers de personnes ont réagi aux publications d’Ernie, se disant «désolés» pour lui.
«J’espère surtout que tu es en sécurité. Les voitures sont remplaçables», a tout de même indiqué un internaute.
En 2008, le constructeur indien Tata Motors s’était fait connaître à travers la planète en lançant la sous-compacte Nano, une voiture s’affichant à 2500 $ américains. Près de 15 ans plus tard, la compagnie, propriétaire notamment du groupe Jaguar Land Rover, revient à la charge, cette fois avec une voiture électrique offerte au prix très alléchant de 10 000 $ américains.
Attention, le prix ne sera valide que pour les 10 000 premiers acheteurs. Le prix régulier du modèle n’est pas encore connu.
Il va sans dire, il s’agit de la voiture électrique la moins chère sur le marché en Inde. Troisième plus important constructeur au pays, Tata Motors cherche bien sûr à s’attirer le maximum d’acheteurs. L’entreprise domine le marché indien des véhicules électriques, aidé par les subventions gouvernementales et les tarifs élevés sur les importations.
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La Sûreté du Québec (SQ) a ouvert une enquête pour une voiture volée à Saint-Georges.
Le délit a été commis dans la nuit du 20 septembre dernier, dans le stationnement de la 123e rue et de la 2e avenue, à Saint-Georges.
Plusieurs documents, dont un passeport, qui se trouvaient à l’intérieur de la voiture ont aussi été dérobés.
L’enquête est toujours en cours.
BEREA, Ohio — L’ailier défensif Myles Garrett des Browns de Cleveland est demeuré à la maison pour se reposer et se remettre de blessures subies lors d’un accident d’automobile mais son statut en vue du match de dimanche à Atlanta demeure incertain.
Garrett ne s’est pas présenté au site d’entraînement de l’équipe mercredi, deux jours après que sa Porsche eut fait des tonneaux lors d’un accident routier n’impliquant aucun autre véhicule, sur un chemin rural près de sa résidence. Il s’en est sorti avec des blessures à une épaule et à un biceps, avec des coupures et des ecchymoses.
Garrett a été hospitalisé pendant quelques heures et des images captées par la caméra corporelle d’un shérif l’ont montré paraissant sonné pendant qu’il recevait les traitements d’une équipe médicale au moment où il était assis au sol près de son véhicule renversé.
Les dirigeants des Browns ont fait savoir que Garrett était sorti du protocole relatif aux commotions cérébrales.
Dans un communiqué publié mardi soir, ils avaient précisé que les médecins des Browns allaient évaluer l’état de santé de Garrett pendant la semaine avant de déterminer s’il jouera contre les Falcons.
Plusieurs coéquipiers de Garrett se sont montrés soulagés de savoir qu’il n’avait pas été blessé plus grièvement dans l’accident, qui a aussi causé des blessures à une femme dont l’identité n’a pas été révélée.
«Dans le portrait global de la vie, la meilleure chose c’est qu’il soit correct», a déclaré le quart Jacoby Brissett, qui a été en contact avec Garrett. «Lorsque je lui ai envoyé un texto, je lui ai dit que j’étais content qu’il soit correct.»
Garrett, un colosse de six pieds quatre pouces et 275 livres, a souvent joué malgré de blessures mineures et autres douleurs, et le maraudeur John Johnson III a admis qu’il ne serait pas surpris de le voir sur le terrain dimanche. D’un autre côté, ce n’est pas ce qu’il souhaite.
«Je sais qu’il voudra probablement jouer», a déclaré Johnson. «Mais si vous me demandez mon avis, je pense qu’il devrait prendre congé. Mais je n’en ai aucune idée. Tel que je le connais, il voudra probablement jouer et je ne serais pas surpris si c’était le cas. Mais c’est une situation risquée. Je pense qu’il devrait se reposer.»
Selon le récit de la Sûreté du Québec, deux piétons, soit un adulte et un bambin, qui marchaient sur la rue de la Reine ont été accrochés par une voiture qui sortait d’un stationnement d’un restaurant.
Seul l’enfant a été pris en charge par les paramédics et conduit au centre hospitalier par mesure préventive.
La thèse accidentelle est privilégiée par la police.
L’ailier défensif étoile des Browns de Cleveland Myles Garrett a été blessé dans un accident de voiture, a confirmé l’équipe de l’Ohio lundi.
Alors qu’il revenait du complexe d’entraînement des Browns à Berea, Garrett a été victime d’un carambolage qui n’impliquait que sa voiture. Le Texan de 26 ans a subi des blessures qui ne mettent pas sa vie en danger, tout comme la femme avec qui il voyageait.
Le véhicule, une Porsche datant de 2021, a dévié de l’autoroute et a capoté.
Selon la patrouille routière de la municipalité de Wadsworth, où l’accident a eu lieu, l’alcool ou la drogue ne sont pas en cause et les deux passagers portaient leur ceinture de sécurité.
En trois parties cette saison, celui qui a participé à trois matchs du Pro Bowl a récolté trois sacs du quart et sept plaqués, en plus de forcer un revirement.
Another look at the damage to the car of #Browns DE Myles Garrett: pic.twitter.com/IWaCOz2m3h
— Brad Stainbrook (@StainbrookNFL) September 26, 2022
Qu’ils pensent à l’autobus ou au train, des résidents du sud de la péninsule gaspésienne, dans la circonscription de Bonaventure, soutiennent qu’ils « font pitié » en matière de transport.
À Maria, où vivent plus de 2700 habitants, les voitures sont nombreuses sur la route 132 qui longe la mer. Au bord du chemin, Nathalie Deslauriers discute avec des clients intéressés par sa vente de garage, sous un fort soleil d’été. « On fait pitié, on n’a pas grand-chose [en matière de transport] », dit-elle au Devoir.
Depuis 2013, le train de passagers qui allait de Matapédia à Gaspé en longeant la côte sud de la péninsule ne circule plus. Seul le transport ferroviaire de marchandises est possible entre Matapédia et Caplan, un tronçon d’environ 125 km. Aucun train ne peut circuler plus loin vers Gaspé, qui est encore à 200 km, en raison de l’état des rails, selon le ministère des Transports du Québec (MTQ).
L’autobus, lui, effectue un départ par jour de la Gaspésie vers les grands centres en passant par le nord de la péninsule, et un autre par la route sud.
Pour se faire soigner dans les hôpitaux de Québec ou Montréal, qui offrent certains services non accessibles en Gaspésie, « ça nous prend des moyens de transport », poursuit Mme Deslauriers. « On n’a plus rien. Il faut être capable de conduire, sinon, ça ne marche pas. »
Raymond Kerr, un résident de Chandler, à l’est de la circonscription de Bonaventure, en sait quelque chose. Il doit se rendre à Rimouski ou à Montréal plusieurs fois par an. L’homme de 71 ans combat un cancer colorectal depuis quatre ans. Il doit parfois aller passer des examens en ville. Sans compter les visites qu’il rend à ses filles, toutes deux résidentes de Laval.
En autobus, le trajet de Chandler à Montréal dure « quand même 14 heures », soit près de 4 heures de plus qu’en voiture, dit M. Kerr. « Mais on accepte et on roule », ajoute-t-il, avec bonhomie. Un billet ordinaire, avec la compagnie d’autobus qui offre le trajet, Keolis, coûte environ 130 dollars. Il prend aussi parfois sa voiture, lorsque l’état des routes est bon.
Concernant la campagne électorale, Raymond Kerr salue les investissements du gouvernement de François Legault, notamment en région, durant son dernier mandat. Son vote ira donc à la CAQ.
Une lutte serrée entre le Parti québécois (PQ) et la formation caquiste s’annonce dans sa circonscription, Bonaventure. Le député indépendant sortant Sylvain Roy ne brigue pas de nouveau mandat. Ce dernier représentait les citoyens de la région depuis 2012 sans interruption. D’abord élu comme péquiste, il avait claqué la porte du PQ en 2021, parce qu’il ne faisait plus confiance au chef, Paul St-Pierre Plamondon.
Mais pour M. Kerr, le PQ « n’existe plus ». « C’est un manque de leadership total, on se promène d’un candidat à un autre à peu près tous les deux ans. » Pour lui, le fondateur du parti, René Lévesque, était « un dieu ». « Il n’a jamais été remplacé non plus. »
Selon le candidat péquiste Alexis Deschênes, les transports — comme le train et l’autobus — sont des services essentiels pour une région éloignée comme la Gaspésie. De plus, « le train, pour les marchandises et pour libérer de l’espace sur la route 132, il y a des entreprises qui en ont besoin. »
Si la mise en service du tronçon d’environ 70 km entre Caplan et Port-Daniel–Gascons est attendue en 2024, aucune date n’est prévue actuellement pour celui jusqu’à Gaspé.
Le gouvernement de François Legault a « traîné les pieds », selon M. Deschênes. S’il est élu, le Parti québécois (PQ) s’engage à rétablir un échéancier de travaux sur le tronçon entre Port-Daniel–Gascons et Gaspé pour permettre le retour du train de passagers et de marchandises d’ici quatre ans.
La candidate caquiste dans Bonaventure, Catherine Blouin, défend le gouvernement sortant. Les nouveaux délais devraient être connus en 2023, assure-t-elle. « Ce n’est pas qu’il n’y a plus d’échéanciers, c’est qu’on veut s’assurer d’avoir tous les éléments des analyses en main pour ne pas avoir d’autres mauvaises surprises. » Certaines structures qui devaient être rénovées doivent être complètement reconstruites, explique Mme Blouin. Elle souhaite la reprise du train « le plus rapidement possible du côté de Gaspé ».
Pour la candidate de Québec solidaire (QS), Catherine Cyr Wright, le retour du train est essentiel pour favoriser la transition écologique. « Dans notre plan pour régler la crise climatique, évidemment qu’en ce qui a trait au transport pour la région, c’est important de fournir des modes alternatifs de transport. »
Si la formation solidaire est portée au pouvoir, elle veut « révolutionner le transport interurbain » en créant Québec-Rail, qui comprendrait cinq lignes de train pour relier les principales villes du Québec. Ailleurs, Québec-Bus compléterait le réseau avec 11 lignes sur plus de 4000 km de route.
Pendant cette campagne électorale, le transport est « un enjeu aussi important que le logement en Gaspésie », estime pour sa part Pierre-Luc Arsenault, conseiller du secteur Pabos de la Ville de Chandler. Et, pas seulement pour les longues distances. Des résidents empruntent fréquemment leur voiture pour parcourir un ou deux kilomètres entre la maison et le travail, souligne l’homme de 42 ans attablé au sympathique Mich Café.
« L’auto solo est encore reine et maîtresse de nos routes ici », déplore M. Arsenault. Ce dernier utilise sa bicyclette pour aller à l’épicerie et conduire ses enfants à la garderie. « Mais on les compte sur les doigts d’une main ceux qui font ça. »
Le manque d’endroits sécuritaires où marcher et rouler à vélo est en cause, affirme Pierre-Luc Arsenault, la voix couverte par le bruit des cafetières qui roulent à plein régime. La vitesse à laquelle filent les voitures sur la route 132 pose problème, soutient-il. « Il y a de plus en plus de voitures, et elles sont de plus en plus grosses. »
« Finalement, le transport actif, ce n’est pas la manne, soutient le conseiller municipal. C’est “achète-toi un char ou reste chez vous”. »
Le manque de transports en Gaspésie rend les gens « zombies » et dépendants de la voiture et de ses coûts, assène M. Arsenault.
Quant à savoir quel parti politique pourrait favoriser le transport actif en Gaspésie et répondre aux problèmes locaux, Pierre-Luc Arsenault n’a pas de parti pris. Pour lui, l’idéal serait une formation qui aurait une vision pour la région et qui serait capable « de la mener à terme ». Mais cela prendra plus qu’un mandat de quatre ans, conclut-il.
Un corps a été retrouvé, dimanche, dans une camionnette qui a été incendiée dans un champ en bordure du rang St-Pierre à Saint-Bernard, en Beauce.
Les secours ont d’abord été appelés à intervenir pour maîtriser l’incendie du véhicule vers 15 h. Le corps d’une personne a subséquemment été retrouvé à l’intérieur, a résumé la sergente Hélène St-Pierre, porte-parole pour la Sûreté du Québec (SQ).
Les enquêteurs nageaient en plein mystère en soirée pour tenter d’expliquer ce sinistre. Des expertises devront notamment être menées pour identifier le corps de la victime afin de déterminer son identité, ainsi que pour identifier le véhicule, qui a été lourdement endommagé par les flammes.
La cause du brasier demeurait aussi nébuleuse en fin de journée.
Des agents de la section des Crimes majeurs de la SQ ont été dépêchés sur les lieux pour tenter de tirer cette histoire au clair.
Une voiture de police, contenant une personne, a été percutée par un train, dans l’État du Colorado, montrent des vidéos publiées par le département de Fort Lupton vendredi.
Le 16 septembre dernier, Yareni Rios-Gonzalez, qui est suspectée d’avoir été impliquée dans un cas de rage au volant, était menottée et assise à l’intérieur de la voiture de police lorsqu’un train l’a percutée.
Le véhicule de patrouille était garé sur des voies ferrées, à quelques mètres derrière le camion de Mme Rios-Gonzalez, qui se faisait fouiller par deux agents.
Le policer qui a stationné la voiture a été placé en congé.
La femme a été hospitalisée pour de multiples blessures, mais ne se trouve pas dans un état critique. Elle a neuf côtes et un bras cassés, selon Paul Wilkinson, son avocat.
Voyez le reportage en anglais de CNN dans la vidéo ci-dessus.
C’est en entrevue avec Gildor Roy, dans le cadre de l’émission La Tour, que le grand Michel Jasmin s’est confié sur son état de santé.
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Rappelons que ce grand monument télévisuel québécois a été victime d’un accident de voiture survenu en 1973, l’ayant laissé paraplégique.
«Je ne me souviens pas d’avoir passé une demi-heure sans douleur», a-t-il confié à Gildor.
Il faut savoir que Michel Jasmin souffre de douleur chronique depuis cet accident survenu il y a de ça 48 ans.
«Je ne sais pas ce que c’est», a-t-il ajouté.
Pendant L’entrevue, Michel Jasmin a admis ne pas être en paix avec le fait d’avoir eu un tel accident.
«J’ai encore de la misère», a-t-il raconté.
Il a renchéri en racontant qu’il avait dû apprendre à vivre avec la douleur.
Michel Jasmin a poursuivi en racontant ce moment grandement touchant, où il a pris la décision d’accepter le conseil que ses médecins lui donnaient depuis quelque temps, soit l’amputation de sa jambe.
«Un jour, j’étais dans une crise de spasmes épouvantables. J’étais hospitalisé à Québec et celui qui était proche de moi [...] il avait sa tête sur mon épaule et m’a dit [...] j’aime mieux avoir un chum à qui il manque un membre que de ne pas en avoir du tout.»
Michel Jasmin a précisé que c’est suite à cette phrase qu’il avait contacté ses médecins en leur disant d’aller de l’avant avec l’amputation.
«Je vous autorise à l’amputation. Mais ce que je vous dis là, je ne vous le dirai plus jamais. Alors, faites ça vite.»
«Le moment le plus difficile a été quand je me suis réveillé et quand j’ai pris conscience que je n’avais plus de jambe droite. J’étais capable de lever la jambe gauche. Je faisais le même effort, mais il n’y avait plus de jambe droite [...] Ça m’a pris du temps à accepter ça.»
C’est dans une conversation complètement poignante que ce grand homme s’est livré.
Nous lui souhaitons beaucoup de douceur.
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Je pense qu’il ne faut surtout pas répéter les erreurs du passé. La France avec ses « villes nouvelles » en banlieue de Paris a foncé droit vers des lieux de vie horribles. Entre autres, on a interdit les voitures dans le centre. Ça a créé toutes sortes d’autres problèmes. Evry ville nouvelle est un bon exemple. Le « sans voitures » a donné lieu à des zones lugubres qui sont devenues très vites non sécuritaires. La ville est devenue invivable. J’y ai rencontré les autorités municipales au début des années 2000 et elles cherchaient le moyen de ramener une certaine circulation automobile pour redynamiser le centre. Je pense que l’approche comme la rue Sainte-Catherine nouvelle est préférable. Un mélange de voitures, de piétons, de vélos… Et puis, bientôt, toutes les voitures seront électriques. Il y aura moins de problème de pollution atmosphérique et sonore. Peut-être pourrions-nous permettre que les véhicules électriques dans le centre-ville ? Comme à Londres ? Permettons la mixité bien gérée.
Ronald Houle
J’ai vécu en Europe centrale quelques années, les quartiers sans voitures existent depuis longtemps et pas seulement dans les petites villes : Vienne, Bratislava, Nitra, Lubjiana… Quand on découvre le bonheur d’un quartier sans voitures, on ne comprend pas pourquoi l’Amérique prend tant de temps à comprendre ! Le Québec a des villes qui pourraient facilement s’y adapter. Un jour peut-être…
Jean-Guy Dalpé
L’objectif d’un quartier sans voitures est louable, mais améliorer l’offre du transport serait plus bénéfique. J’habite dans le quartier Sainte-Rose, à Laval. Déjà, beaucoup de mes déplacements se font à pied : bibliothèque, banque, épicerie, pharmacie sont à portée de pied. Lorsque je veux sortir de mon quartier, ça se complique. Je double mon temps de transport si je choisis les transports en commun par rapport à l’auto pour aller à la salle André-Mathieu ou me rendre à Montréal ou aller à la Cité-de-la-Santé.
Marc Villaggi
Laval ne doit pas faire les mêmes erreurs que Montréal en misant sur le vélo et la fermeture de rues, deux politiques à courte vue qui ne règlent en rien les problèmes de congestion. C’est par la bonification des transports en commun (circuits directs, passages plus fréquents des autobus et métros, utilisation des taxis collectifs), que nous encouragerons davantage de gens à délaisser leur automobile.
Laurent Cauchon
Pourquoi ne pas considérer cette approche pour le développement de l’espace Blue Bonnets et l’espace Namur ? Il serait opportun d’installer un métro-bus électrique express pour parcourir le développement et rabattre ses citoyens à la station de métro Namur.
Alain Brière, Côte-des-Neiges, Montréal
Enfin, une vision pour la ville de Laval. Mais, M. Boyer aura-t-il le courage politique d’aller de l’avant ? Pour le moment, le réseau actuel de pistes cyclables indique plutôt le contraire.
Charles Bonin, Laval
Je trouve l’idée excellente pour… la Floride. Mon maire semble oublier que nous sommes un pays nordique, avec ses trottoirs glacés ou enneigés. Ces trottoirs seront-ils recouverts de sel si nocif pour l’environnement afin de pouvoir s’y balader de façon sécuritaire ?
Julie Van Den Bossche, Laval
Je trouve l’idée extrêmement intéressante ; elle mérite grandement que l’on s’y penche sérieusement. Assurément une part de solution au réchauffement climatique et à l’environnement. Je vais me procurer le livre.
Hélène Tousignant
Pourquoi pas ? De toute façon, on a pas vraiment le choix. Notre mode de vie actuel, où la voiture est reine, nous tue tous petit à petit… Il faut agir, donc autant le faire de façon organisée et profiter des infrastructures déjà existantes. Renoncer aux stationnements, à l’asphalte et aux heures perdues dans les déplacements est beaucoup plus positifs ! Le quotidien de chacun, la qualité de vie et une vraie vie communautaire sont sûrement plus bénéfiques pour notre santé mentale et physique et l’environnement plus assuré pour que l’avenir existe. Le changement en vaut vraiment l’effort.
Charline Jourdain, Boisbriand
Je le pratique à mon âge (84 ans) parce que je demeure dans un vieux quartier de la ville où tout se fait à pied. On appelle ça vivre dans un arrondissement proche des services de proximité (école, église, dépanneur, hôpital, marché d’alimentation, pharmacie, salon de coiffure, etc. incluant le service de transport en autobus). Je suis un adepte du vélo électrique et, malheureusement, aucun marché public n’offre ce service de sécurité qui permettrait au cycliste d’y laisser son vélo en toute confiance. Je suis convaincu que plusieurs résidants de mon patelin font la même chose que moi… ! Je félicite le maire de Laval de dire tout haut ce que plusieurs élus municipaux osent dire tout bas ! Il y a un début à toute chose pourvu qu’on en parle et qu’on en discute sereinement.
Yvan Bastien
C’est peut-être possible en ville si tout est à proximité quoique là encore tout dépende de l’âge des gens. Mais en dehors de la grande ville, ce ne serait pas possible. Un bel idéal pour un petit milieu où tout est à proximité. Mais ce n’est pas le cas partout.
Pierre Chatelain
Au volant, certains comportements sont néfastes pour votre véhicule et peuvent, sans que vous le sachiez, vous coûter cher.
848 euros par an. C'est, selon Ouest-France, ce que dépensent les Français chaque année pour l'entretien de leur voiture. Pourtant, des gestes simples peuvent permettre de préserver votre véhicule et même de prolonger sa durée de vie.
Stationnement en extérieur, conduite imprudente, défaut d'entretien... Au-delà de ces mauvaises habitudes bien connues qui nuisent à votre auto, d'autres moins évidentes sont sans doute adoptées par certains conducteurs, faute d'information. Le point sur cinq comportements à bannir autant que possible.
Avec les prix des carburants élevés malgré les mesures gouvernementales, la tentation de repousser le passage à la pompe peut-être grande. Elle est pourtant contre productive.
Comme l'explique le site spécialisé oscaronews, rouler avec le réservoir au plus bas est mauvais pour le moteur. Les résidus et les saletés s'accumulent plus au fond du réservoir, dans la pompe à carburant voire dans le moteur. Rouler régulièrement sur la réserve peut donc vous faire risquer bien plus qu'une simple panne sèche.
C'est une habitude adoptée par de très nombreux conducteurs. Garder une main sur le volant et l'autre sur son levier de vitesse.
"Cela abîme à la longue la boîte de vitesse, souligne le site spécialisé autoplus. En effet, le levier est relié à une barre de contrôle qui actionne une fourchette en contact avec les rouages. Quand une pression est exercée dessus, la fourchette frotte contre le col rotatif des rouages ce qui entraîne leur usure prématurée."
C'est un peu plus évident, mais freiner trop souvent abîme vos disques et vos plaquettes. Les experts constatent en outre que cela conduit à une augmentation importante de la consommation en carburant de votre voiture.
Privilégier le frein moteur en rétrogradant d'une vitesse quand nécessaire, garder vos distances et anticiper le trafic permet d'épargner votre véhicule.
C'est surtout le cas pour les propriétaires d'un véhicule à moteur diesel. En dessous de 15 km, vos injecteurs risquent de s'encrasser car le système autonettoyant du filtre à particules ne fonctionnera pas efficacement.
En cas de petites distances répétées, votre moteur peut en pâtir. Un risque de manque de puissance et de surconsommation de carburant est aussi à prendre en compte.
On a l'habitude de vérifier ses témoins d'usure. Et la pression de vos pneus avant de partir en vacances. Le reste du temps, certains conducteurs oublient de la contrôler.
Pourtant, des pneus sous-gonflés ou surgonflés s'useront plus rapidement et entraîneront là aussi une surconsommation de carburant.
Les équipes ont été confrontées à des délais serrés entre les événements dans ce qui a été une seconde moitié de la saison du WRC. M-Sport a choisi de ne pas aligner Sébastien Loeb selon les règles du super rallye pour les trois dernières étapes de dimanche en Grèce, afin de se concentrer sur la préparation de ses voitures pour la Nouvelle-Zélande.
Benoit Charette
En 1997, Honda a présenté une petite voiture entièrement électrique dont l’autonomie s’élevait à 130 km. Dix ans plus tard, Nissan propose une Leaf, 100 % électrique aussi, dont l’autonomie est de 172 km. Non, mais quel progrès !
Si ce n’avait été des normes environnementales strictes de la Californie, il est fort probable que la EV n’ait jamais vu le jour. Elle était équipée d’une batterie de 288 V et son moteur développait 49 kW, c’est-à-dire l’équivalent de 66 chevaux-vapeur.
Comme c’était le cas avec l’EV1 de General Motors mise sur le marché à la même époque, il n’était pas possible d’acheter la EV Plus. Les clients pouvaient la louer pour une période de 3 ans. Une fois retournées à Honda, elles ont été recyclées. Environ 300 exemplaires ont été produits.
Fait intéressant, pour une raison inconnue, on peut en apercevoir une dans l’épisode 11 de la saison 6 de la télésérie Friends.
Benoit Charette / Propriétaire et rédacteur en chef Benoit Charette pratique le journalisme automobile depuis 30 ans. Il est fondateur, propriétaire et rédacteur en chef de L’Annuel de l’automobile, qu’il publie depuis 2001. Il a animé les émissions RPM et RPM+ sur V et les Légendes de la route sur Historia. À la radio depuis 1986, il anime l'émission Ça tient la route et participe pour la deuxième année à l’émission Passion Auto sur RDS en plus de mettre en ligne le site Web officiel de L’Annuel de l’automobile sur annuelauto.ca.
Le pilote de course Alexis Charbonneau a perdu la vie, après avoir été heurté par un véhicule, la semaine dernière dans le stationnement d’un salon de billard situé dans l’arrondissement Saint-Hubert à Longueuil.
Ce sont des proches du pilote qui en ont fait l’annonce sur les réseaux sociaux dimanche.
«Je vous parle de mon ami Alexis Charbonneau, une vie fauchée beaucoup trop vite à 26 ans par l’alcool au volant. Alexis avait toute la vie devant lui, mais quelqu’un la lui a volée. Alexis était un champion de courses et un maudit bon gars. Repose en paix!», a écrit dimanche sur Twitter Anthony Marcotte, porte-parole de l’Autodrome Granby.
Je vous parle de mon ami Alexis Charbonneau, une vie fauchée beaucoup trop vite à 26 ans par l’alcool au volant. Alexis avait toute la vie devant lui mais quelqu’un la lui a volée. Alexis était un champion de courses et un maudit bon gars. Repose en paix! pic.twitter.com/6tFKJ3FOZm
— Anthony Marcotte (@anthonymarcotte) September 18, 2022
Alexis Charbonneau était deuxième au championnat des sports compacts et avait triomphé trois fois cette saison à l'Autodrome Granby.
Le jeune pilote a été heurté par une voiture, vers 4 h dans la nuit du 11 septembre, dans un stationnement d’un salon de billard situé sur le boulevard Cousineau à Longueuil.
«Une conductrice d’un véhicule a heurté un piéton en effectuant une manœuvre de marche arrière», avait alors indiqué le Service de police de l’Agglomération de Longueuil (SPAL) dans un communiqué, précisant que la victime se trouvait dans un état critique.
«La conductrice, une femme âgée de 28 ans, fait face à des accusations de conduite avec les capacités affaiblies causant des lésions corporelles et conduites dangereuses causant des lésions.»
Les accusations pourraient toutefois être modifiées, à la suite du décès de la victime.
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Il faut un certain courage politique pour aborder la question des quartiers sans voitures quand on est maire. Il en faut encore plus quand on est maire de Laval, une ville où la majorité de la population (selon un sondage) estime qu’un espace de stationnement est synonyme de qualité de vie.
Mais cela n’empêche pas Stéphane Boyer de rêver. Le maire de Laval fait partie de la nouvelle génération d’élus municipaux qui se démarquent de leurs prédécesseurs par leur volonté de faire les choses différemment. Il faut dire qu’ils n’ont plus trop le choix : ils doivent gérer les effets de la crise climatique et les excès des générations précédentes qui ont développé sans trop penser aux conséquences sur l’environnement. Que ce soit à Longueuil, Granby, Gatineau, Québec ou Sherbrooke (et Montréal, bien sûr), les nouveaux élus font face à des défis de taille : la crise du logement, l’étalement urbain, le coût des infrastructures, etc.
Stéphane Boyer lance donc un pavé dans la mare : l’idée des quartiers sans voitures, un quartier à échelle humaine où la densité permettrait aux résidants de faire presque tout à pied ou à vélo : reconduire les enfants à l’école ou à la garderie, faire les courses, aller chez le médecin… Les autos seraient stationnées en périphérie, ce qui limiterait les surfaces de béton — îlots de chaleur – et, donc, les coûts d’entretien des routes. Au final, c’est la qualité de vie qui en bénéficierait : moins de pollution, de bruit, et un plus grand sens de la communauté.
Les quartiers sans voitures se distinguent des écoquartiers, où on mise sur des habitations qui répondent à des normes environnementales élevées, mais qui sont parfois érigés au beau milieu d’un champ, loin des infrastructures existantes. Les quartiers sans voitures, nous explique Stéphane Boyer, misent plutôt sur la réingénierie des infrastructures et de l’aménagement du quartier.
On ne le réalise plus tellement on est habitués, mais le bitume occupe une grande superficie de nos milieux de vie.
Quelques chiffres : le réseau routier, c’est 15 % du territoire de Laval et de Longueuil, 21 % de celui de Montréal.
On entend souvent les automobilistes se plaindre qu’en plus de payer pour leur voiture, ils financent avec leurs taxes et impôts les infrastructures de transport public. Mais l’inverse est aussi vrai : non seulement les gens sans auto financent la construction et l’entretien des routes, mais ils paient aussi pour des espaces de stationnement qu’ils n’utilisent pas. Des centaines de milliers de carrés d’asphalte qu’on pourrait convertir en espaces verts ou en habitations.
Stéphane Boyer propose deux modèles pour les quartiers sans voitures : le premier à l’initiative d’un promoteur, l’autre, de la municipalité. Dans les deux cas, il faut le même ingrédient de base : la volonté politique.
Le maire de Laval cite l’exemple du quartier Vauban, à Fribourg (Allemagne), un modèle inspirant selon lui. Pas question de culpabiliser le lecteur, mais plutôt d’expliquer qu’il existe d’autres façons de vivre, plus écologiques et qui, en fin de compte, apportent un plus grand bien-être économique et social.
Réaliste ou utopique ?
Lucide, le maire Boyer reconnaît que le plus grand obstacle demeure notre résistance au changement. Changer la culture de l’auto demeure tout un défi. Ce livre est un excellent prétexte pour lancer la discussion.
En éliminant les rues locales, les places de stationnement et les garages, nous économiserions beaucoup d’espace. Les distances à parcourir entre chaque bâtiment seraient ainsi réduites. Par conséquent, il serait plus facile et rapide de les parcourir à pied ou à vélo. Plutôt que d’y retrouver des rues et des cases de stationnement, on y retrouverait des allées piétonnes bordées d’arbres, de fleurs et de jardins. Sans voitures dans les rues, le quartier serait non seulement plus silencieux, mais aussi plus sécuritaire pour y laisser jouer les enfants, il serait plus agréable de s’y promener, d’y lire un livre sur un banc public ou d’y prendre un verre sur une terrasse. Les rues seraient également plus animées.
Des quartiers sans voitures : de l’audace à la réalité
Stéphane Boyer
Somme toute
128 pages
Avant d’être élu maire de Laval en 2021, Stéphane Boyer a été conseiller municipal de Duvernay–Pont-Viau. Il a publié un premier livre, Un monde de différences (2009), sur son expérience en Afrique du Sud dans le cadre du programme Jeunesse Canada Monde.
PARIS | La capitale française le proclame: ce dimanche, «Paris respire sans voiture» toute une partie de la journée, en interdisant les véhicules motorisés intra-muros, afin de profiter d’«une ville plus calme, plus vivante et plus respirable», selon la mairie, qui organise cette opération depuis 2015.
Hormis sur le périphérique, entre 11 h et 18 h, «toute la ville sera réservée aux circulations non polluantes, vélo, patins à roues alignées, trottinette, skateboard, aux piétons et usagers des transports en commun», explique-t-elle dans un communiqué.
Les deux-roues et les véhicules électriques sont concernés par l’interdiction.
Les contrevenants s’exposent à une amende de 135 euros.
Seules exceptions, les véhicules de secours, les bus, les taxis et VTC, avec une vitesse limitée à 20 km/h dans certaines zones, et les Parisiens rentrant de week-end, sur justificatif de domicile.
En 2021, le jour de la même opération, les concentrations de dioxyde d’azote avaient été «inférieures de près de 20 % à celles d’un dimanche habituel», selon l’observatoire de la qualité de l’air en région parisienne Airparif.
Pour faciliter les déplacements, alors que de nombreux lieux parisiens seront ouverts aux visiteurs pour les Journées du patrimoine, sept stationnements partenaires proposeront «un tarif unique de 15 euros toute la journée» et 45 minutes seront offertes pour utiliser les vélos en libre-service Vélib.
Place de la Concorde, au centre de la capitale, des ateliers de réparation de vélos participatifs seront organisés et un stand de la RATP visera à «sensibiliser les cyclistes aux risques et dangers de la route en milieu urbain».
Une parade musicale à vélo, tandem ou tricycle s’élancera de Pantin pour rejoindre la place de la Concorde, tandis qu’une randonnée en skateboard partira du Trocadéro, dans l’Ouest parisien.
Cette journée s’inscrit dans la politique volontariste de réduction de la place de la voiture de la maire socialiste Anne Hidalgo, réélue en 2020. Paris a notamment réservé plusieurs axes majeurs aux cyclistes et aux piétons, fermé à la circulation certaines rues tous les dimanche ou un dimanche par mois (périmètres «Paris Respire») et rendu payant le stationnement pour les deux-roues à moteur thermique depuis le 1er septembre.
Le Salon de l’auto de Détroit a repris ses activités cette année, une première depuis 2019. L’événement a fondu en ce qui a trait à sa taille, si bien que seules quelques présentations de constructeurs américains étaient au menu.
Nous avons donc pu profiter d’un peu plus de temps pour jeter un coup d’œil aux autres entreprises qui étaient sur place afin de démontrer ce qu’elles avaient à mettre de l’avant. Une d’elles a retenu notre attention. Ce n’était pas la première fois qu’on avait l’occasion de la voir, notez-le, mais une petite information reçue au kiosque a piqué notre curiosité.
En fait, Icon, une entreprise qui propose une voiture volante, avait prévu quelques démonstrations de vol prévu pour le lendemain. L’une d’elles se faisait au petit matin et nous a permis de voir, de notre chambre d’hôtel, deux unités survoler le fleuve qui porte le nom de la ville. Votre humble serviteur implore votre indulgence pour la qualité des clichés obtenus, mais compte tenu de la distance qui nous séparait des biplaces…
En fait, on sait que la voiture volante est à l’essai depuis un certain temps déjà. On en rêvait même au début de siècle dernier et des prototypes efficaces ont déjà été conçus autour des années 50. Cependant, la technologie est hautement plus raffinée aujourd’hui, si bien qu’on peut offrir au public une solution plutôt intéressante pour ses déplacements.
Consultez les véhicules à vendre près de chez vous
Icon le précise sur son site Internet, son avion n’est pas conçu à des fins commerciales, mais plutôt récréatives. Le modèle A5 que nous avons eu l’occasion de voir de près au salon (de loin dans le ciel) de Détroit est animé par un moteur Rotax de 100 chevaux et propose une autonomie de 420 miles nautiques. Sa vitesse maximale est de 176 km/h. Il peut fonctionner avec de l’essence à indice d’octane 91. La compagnie le décrit comme très agile et facile à piloter.
Le modèle est l’évolution du premier concept qui avait vu le jour en juillet 2008. En 2015, la compagnie livrait son premier exemplaire à un consommateur. En 2017, trois incidents sont venus entacher la réputation de l’entreprise, mais des enquêtes ont démontré que lesdits accidents avaient été le résultat d’erreurs de pilotage.
Ce qui nous fait dire que la voiture volante est à nos portes, mais peut-être pas destinée à tous. De toute manière, avec un prix de base évalué à 359 000 $, son accessibilité est plutôt limitée.
Notez qu’elle peut atterrir et décolle autant sur le bitume que sur l’eau, comme le démontre une de nos photos où le pilote est allé toucher la surface de l’eau. Sur la terre ferme, l’Icon A5 a besoin d’un dégagement de 640 pieds. Sur l’eau, 840. Pour la possibilité d’atterrir ou d’amerrir, on parle de distances de 590 et 700 pieds, dans l’ordre.
Rassurez-vous, nous ne ferons pas l’essai d’un modèle de sitôt, quoique si l’on nous proposait une petite balade, c’est volontiers qu’on s’installerait à bord de cette puce qui peut recevoir deux personnes (capacité de 430 livres plus 60 livres pour les bagages).
Nous aurons l’occasion de vous revenir la semaine prochaine avec d’autres entreprises rencontrées au Salon de Détroit 2022, des firmes qui gravitent autour du monde automobile que l’on connaît.
TRANSPORT. Le 22 septembre prochain aura lieu la Journée mondiale sans ma voiture, et pour l’occasion, la Ville de Drummondville offre la gratuité du transport en commun à toute la population.
Il s’agit d’une belle occasion pour découvrir ou redécouvrir ce mode de transport qui s’inscrit comme une des pièces maîtresses du Plan de mobilité durable 2020- 2040 mis de l’avant par la Ville. La population est invitée à consulter Infobus ou à télécharger l’application Infobus pour Apple ou Android afin de planifier un itinéraire.
Les employés municipaux mis à contribution
Du 19 au 25 septembre, la Ville de Drummondville participera également au Défi sans auto solo organisé par l’Association des Centres de gestion des déplacements du Québec.
Pendant la semaine du Défi, la Ville invite ses employés à choisir le transport collectif, le vélo, la marche, le covoiturage ou tout autre moyen de transport durable pour se déplacer.
Appelés à intervenir sur un accident mineur sur la rue Sherbrooke dans le secteur de Pointe-Aux-Trembles, des policiers de Montréal ont procédé à l’arrestation d’un homme pour vol de voiture vendredi matin.
C’est aux alentours de 3h que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a été appelé à se rendre sur les lieux d’un accident survenu sur la rue Sherbrooke, près de la 31e avenue, à Pointe-Aux-Trembles.
Photo Agence QMI, Erik Peters
Le véhicule serait entré en collision avec un banc de parc et un lampadaire, a indiqué Jean-Pierre Brabant, porte-parole du SPVM. Or, à l’arrivée des autorités, le conducteur avait fui les lieux.
«Avec l’aide des témoignages des personnes qui ont assisté à l’évènement, les policiers ont ratissé le secteur et ont localisé le conducteur, un homme de 26 ans», a précisé l’agent Brabant.
Photo Agence QMI, Erik Peters
Ce dernier s’en sort avec des blessures mineures. Après une enquête du véhicule impliqué dans l’accident, les policiers ont constaté qu’il avait été déclaré volé.
Ainsi, le suspect a été arrêté et pourrait faire face à des accusations de vol de voiture, de recel et de délit de fuite.
Le Service de police de la Ville de Québec demande l'aide de la population pour retrouver deux hommes soupçonnés d'avoir volé un véhicule Dodge Challenger SRT à l'aéroport Jean-Lesage, le 24 août dernier.
Vers 20 h 25, les suspects, circulant à bord d’un Toyota Tundra, se sont rendus dans le stationnement de l’aéroport international Jean-Lesage de Québec. Un des deux suspects est sorti du camion et a volé une Dodge Challenger SRT qui était stationnée. Les deux véhicules ont ensuite quitté rapidement à la guérite
, précisent les policiers.
Le suspect qui conduisait le véhicule Toyota Tundra gris modèle 2018-2022 portait un chandail à capuchon noir et une casquette noire de marque Under Armour lors des faits.
Les gens qui détiennent de l'information sur le suspect sont priés de contacter immédiatement les policiers.
Une collision impliquant une voiture et une camionnette s’est produite en fin d’avant-midi à Saint-Georges.
Vers 11 h 15, les policiers de la Sûreté du Québec ont été appelés à se rendre sur le boulevard Lacroix, près de la 126e Rue, où une camionnette et une voiture sont entrées en collision.
Selon le peu d’informations qu’on avait au moment d’écrire ces lignes, « Il y aurait des blessés, mais à première vue ce ne serait pas des blessures majeures », a indiqué à MaBeauce la porte-parole de la SQ, Hélène St-Pierre.
Les remorqueurs ont été appelés pour dégager les véhicules.
Plus de détails suivront.
Sainte-Agathe-des-Monts
Publié le 15 septembre 2022 par Alex Proteau
Alors qu’il faisait ses besoins à l’extérieur de son domicile situé sur la rue Saint-Joseph à Sainte-Agathe-des-Monts, Pompom, un caniche, aurait été heurté par une voiture de police lui causant de sérieuses blessures.
Pompom est hospitalisé depuis qu’il aurait été frappé par une voiture de police le 26 août. (Photo-gracieuseté)
La petite-fille du propriétaire du chien, Sandy Ouellette, a amené l’animal canin à son lieu de travail, au Centre vétérinaire de Sainte-Agathe où elle est réceptionniste.
Selon l’examen préliminaire du vétérinaire en poste, Pompom a des fractures multiples du bassin avec déplacement et dommages à la colonne.
Le caniche a reçu une injection d’Onsior et de Butorphanol et une chirurgie a été recommandée. Pompom a également un saignement dans l’œil droit. Depuis l’accident, le chien est non-ambulatoire. Il a été transféré au Centre vétérinaire Laval et est à son domicile sous médicamentation.
Selon une note remplie par une chirurgienne spécialiste dont L’info a obtenu copie, les coûts estimés de l’opération oscillent entre 8000$ et 10 000$. Sandy Ouelette a déjà déboursé plus de 8000$, affirme-t-elle.
Plus de deux semaines après l’incident, les circonstances demeurent toujours à éclaircir. Après trois tentatives, la Sûreté du Québec n’a pas donné plus de détails concernant l’incident. « Un véhicule de police aurait heurté un véhicule ainsi qu’un chien[…] », nous a-t-on indiqué à trois reprises.
Or, plusieurs témoins présents le vendredi 26 août ont indiqué à L’info avoir vu l’autopatrouille descendre la rue Saint-Joseph. Pour le moment, la famille Ouellette attend toujours des détails concernant les assurances et de la protection juridique.
L’agent d’information à la Sureté du Québec, Nicolas Scholtus, indique que « les rapports ont été rédigés en ce sens et les informations ont été transmises à qui de droit ».
Quant à la Direction principale des services juridiques et des projets stratégiques, elle a accusé réception de ladite réclamation.
« Nous tenons à souligner qu’il vous appartient de prendre les moyens nécessaires afin de minimiser les dommages et d’éviter que la situation s’aggrave », a-t-elle dit.
Par la suite, « à la réception d’une réclamation avec le détail des montants déboursés, nous procéderons, le plus rapidement possible, à la cueillette des informations nécessaires afin d’évaluer la responsabilité de notre organisme dans cette affaire », a-t-elle poursuivi.
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