[unable to retrieve full-text content]
«Mon Dieu! Cette voiture vole!»: un véhicule est emporté par les vents d'une tornade en Caroline du Sud Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
Le spécialiste Benoit Charette explique | L'annuel de l'automobile 2024: moins de voitures économiques 98.5 Montréal[unable to retrieve full-text content]
L’heure de la rentrée scolaire a sonné et, tout en ménageant leur argent pour les études, le logement et la nourriture (et quelques sorties, naturellement), certains étudiants peuvent songer à une petite voiture pour faciliter leurs déplacements, autant pendant la semaine que la fin de semaine.
Nous profitons de l’occasion encore une fois pour y aller de quelques bonnes suggestions et des conseils pour ceux qui se trouvent justement dans cette situation… et qui doivent composer avec un marché des véhicules d’occasion où les prix demeurent élevés.
Les voitures sous-compactes (ou compactes si l’on dispose d’un peu plus de budget) restent toujours le genre de véhicule à privilégier, idéalement un modèle sans grande fioriture, sans moteur turbo et sans rouage intégral. Il est possible d’économiser également en optant pour un exemplaire à boîte manuelle.
Photo: Honda Canada Inc.
Les Honda Fit et Civic sont des autos solides, frugales et faciles à entretenir, bien qu’il faille se méfier des systèmes électriques et de la peinture. La première propose un habitacle particulièrement logeable avec une banquette repliable à la verticale appelée Magic Seat. Un bon modèle qui n’a pas encore atteint la décennie peut se trouver pour moins de 8 000 $.
Les Toyota Yaris, Corolla et Matrix sont d’autres incontournables. Avec un minimum d’entretien, ces voitures peuvent durer extrêmement longtemps, donc le kilométrage ne doit pas trop vous effrayer. La Corolla est moins bruyante et plus agréable sur l’autoroute, tandis que la Matrix possède un hayon pratique et une aire de chargement spacieuse.
Photo: Wheelsage
Attention à la Yaris, qui a très bonne réputation, mais vaut cher sur le marché d’occasion. Comme l’a déjà souligné notre collègue du Guide de l’auto, Antoine Joubert, il faut reculer de pratiquement 10 ans pour obtenir une Yaris qui serait vendue sous les 10 000 $.
Du côté des voitures coréennes, les Hyundai Accent et Kia Rio méritent elles aussi d’être considérées, évidemment. Elles passent sans problème l’épreuve du temps et coûtent généralement moins cher. Depuis 2011-2012, elles démontrent une fiabilité quand même surprenante.
Mentionnons deux autres choix intéressants, abordables et amusants : la Mazda2 et la Nissan Micra. Cette dernière est l’un des produits les plus fiables de la famille Nissan et très simple sur le plan technique, ce qui signifie que les coûts de possession sont minimalistes.
Photo: Michel Deslauriers
Pour une Micra 2015 d’environ 100 000 km avec boîte automatique, climatisation et groupe électrique, vous devrez débourser entre 9 000 $ et 10 000 $ – un prix certainement plus acceptable que celui d’une Yaris, note Antoine.
En terminant, il faut comprendre une chose : mieux vaut opter pour un modèle plus âgé qui a été bien entretenu et dont on connaît l’historique (CARFAX, SAAQ, RDPRM, factures d’entretien, traitements antirouille, etc.) qu’un autre plus récent qui s’accompagne de différents points d’interrogation. Dans tous les cas, il est très important de faire inspecter le véhicule par un mécanicien/technicien de confiance, question d’éviter les mauvaises surprises et de prévoir les réparations à venir, notamment.
Bon magasinage!
[unable to retrieve full-text content]
Chute mortelle d'une voiture de touristes dans un port français TVA Nouvelles:format(url)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/lescoopsdelinformation/SWC6YVBJ4JD6XMX3YSCH2SP5N4.jpg)
Deux agents y ont remarqué un véhicule rapporté volé dans la journée de lundi sur le territoire du Service de police de Sherbrooke (SPS), selon Martin Carrier, relationniste du corps policier.
« Rapidement, les deux occupants du véhicule sont arrêtés », dit-il.
« Le conducteur, un homme de 30 ans, et le passager, un homme de 32 ans, sont connus des milieux policiers. Lors de la fouille du véhicule, des stupéfiants, du crack et des comprimés divers, sont retrouvés. »
Également, les agents du SPS mettent la main sur des cartes de crédit volées qui pourraient avoir servi lors de fraudes, ajoute M. Carrier.
Le conducteur est demeuré détenu, alors que le passager a été libéré par sommation.
Ils doivent faire face à des accusations de recel, de possession de stupéfiants, de possession de biens criminellement obtenus et de bris de conditions de remise en liberté.
(Québec) Les policiers de la Ville de Québec ont procédé à l’arrestation d’un homme de 28 ans impliqué dans un accident qui a grièvement blessé un cycliste de 76 ans.
Lundi, un signalement a été effectué aux services d’urgence pour un accident impliquant un cycliste et une voiture sur la rue du Quai Saint-André, dans le secteur du Vieux-Port.
La victime, qui présentait une blessure à la tête, était inconsciente à l’arrivée des policiers. Le septuagénaire a été « transporté dans un centre hospitalier et nous avons des raisons de craindre pour sa vie », a fait savoir la porte-parole Sandra Dion du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ), dans un courriel.
Selon des témoins interrogés, le cycliste circulait en direction nord sur la rue Saint-Pierre et c’est quand il a tenté de traverser la rue du Quai Saint-André qu’il aurait été happé par le véhicule qui arrivait en direction ouest.
Le conducteur pourrait être accusé de « conduite avec les facultés affaiblies causant des lésions », indique le SPVQ.
Les enquêteurs ainsi que l’unité d’identité judiciaire du SPVQ se sont rendus sur place pour établir les circonstances de l’accident.
L’heure de la rentrée scolaire a sonné et, tout en ménageant leur argent pour les études, le logement et la nourriture (et quelques sorties, naturellement), certains étudiants peuvent songer à une petite voiture pour faciliter leurs déplacements, autant pendant la semaine que la fin de semaine.
Nous profitons de l’occasion encore une fois pour y aller de quelques bonnes suggestions et des conseils pour ceux qui se trouvent justement dans cette situation… et qui doivent composer avec un marché des véhicules d’occasion où les prix demeurent élevés.
Les voitures sous-compactes (ou compactes si l’on dispose d’un peu plus de budget) restent toujours le genre de véhicule à privilégier, idéalement un modèle sans grande fioriture, sans moteur turbo et sans rouage intégral. Il est possible d’économiser également en optant pour un exemplaire à boîte manuelle.
Photo: Honda Canada Inc.
Les Honda Fit et Civic sont des autos solides, frugales et faciles à entretenir, bien qu’il faille se méfier des systèmes électriques et de la peinture. La première propose un habitacle particulièrement logeable avec une banquette repliable à la verticale appelée Magic Seat. Un bon modèle qui n’a pas encore atteint la décennie peut se trouver pour moins de 8 000 $.
Les Toyota Yaris, Corolla et Matrix sont d’autres incontournables. Avec un minimum d’entretien, ces voitures peuvent durer extrêmement longtemps, donc le kilométrage ne doit pas trop vous effrayer. La Corolla est moins bruyante et plus agréable sur l’autoroute, tandis que la Matrix possède un hayon pratique et une aire de chargement spacieuse.
Photo: Wheelsage
Attention à la Yaris, qui a très bonne réputation, mais vaut cher sur le marché d’occasion. Comme l’a déjà souligné notre collègue du Guide de l’auto, Antoine Joubert, il faut reculer de pratiquement 10 ans pour obtenir une Yaris qui serait vendue sous les 10 000 $.
Du côté des voitures coréennes, les Hyundai Accent et Kia Rio méritent elles aussi d’être considérées, évidemment. Elles passent sans problème l’épreuve du temps et coûtent généralement moins cher. Depuis 2011-2012, elles démontrent une fiabilité quand même surprenante.
Mentionnons deux autres choix intéressants, abordables et amusants : la Mazda2 et la Nissan Micra. Cette dernière est l’un des produits les plus fiables de la famille Nissan et très simple sur le plan technique, ce qui signifie que les coûts de possession sont minimalistes.
Photo: Michel Deslauriers
Pour une Micra 2015 d’environ 100 000 km avec boîte automatique, climatisation et groupe électrique, vous devrez débourser entre 9 000 $ et 10 000 $ – un prix certainement plus acceptable que celui d’une Yaris, note Antoine.
En terminant, il faut comprendre une chose : mieux vaut opter pour un modèle plus âgé qui a été bien entretenu et dont on connaît l’historique (CARFAX, SAAQ, RDPRM, factures d’entretien, traitements antirouille, etc.) qu’un autre plus récent qui s’accompagne de différents points d’interrogation. Dans tous les cas, il est très important de faire inspecter le véhicule par un mécanicien/technicien de confiance, question d’éviter les mauvaises surprises et de prévoir les réparations à venir, notamment.
Bon magasinage!
Nissan vise à renforcer la compétitivité de sa voiture électrique emblématique, la Leaf, en la transformant en un VUS électrique avec une autonomie significativement augmentée. Cette stratégie vise à affronter des concurrents avec de plus en plus d’autonomie.
La Leaf est actuellement disponible en deux versions, l’une avec une autonomie de 270 kilomètres et l’autre, appelée version e+, avec une autonomie de 385 km. Toutefois, d’après Automotive News, des concessionnaires ont eu un aperçu du futur modèle, qui évoluera d’une petite voiture à hayon en un VUS. Cette métamorphose sera associée à une augmentation significative de l’autonomie, avec une portée impressionnante de 481 km en une seule charge, soit une augmentation de 25 %.
Le nouveau modèle de Nissan devrait adopter le design de l’Ariya, bien que réduit pour correspondre aux proportions d’un petit SUV. Selon certains, il serait même décrit comme un « coupé crossover ». Cette transformation est un moyen pour Nissan de mieux rivaliser avec les VE en vogue.
La nouvelle Leaf repose sur la même plateforme que l’Ariya, l’architecture CMF-EV. Cependant, pour avoir une meilleure idée de ce à quoi s’attendre, il convient de se pencher vers la Renault Mégane E-Tech. Cette voiture électrique partage la même base et le même gabarit de petit VUS que la prochaine génération de la Leaf. Avec une longueur de 4199 mm, une largeur de 1768 mm, une hauteur de 1505 mm et un empattement de 2685 mm, la Mégane E-Tech est nettement plus compacte que l’Ariya, tout en offrant une autonomie de 454 km grâce à une batterie de 60 kWh.
En adoptant des caractéristiques similaires, Nissan pourrait emboîter le pas de Renault pour la Leaf. Cela positionnerait le nouveau modèle Nissan aux côtés du Kia Niro EV et de la Tesla Model 3, le plaçant dans une catégorie supérieure par rapport à la Leaf actuelle. La nouvelle Leaf transformée en VUS électrique n’est pas attendue avant 2025.
Avec des renseignements de Carsguide
Un cycliste a été grièvement blessé lundi après-midi dans une collision avec une voiture dans le Vieux-Québec.
L'accident s'est produit à 16 h 49 en face du 30, rue du Quai Saint-André, indique le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) dans un communiqué.
Selon des témoins, le cycliste circulait en direction nord sur la rue Saint-Pierre, puis aurait traversé la rue du Quai Saint-André lorsqu'un véhicule qui circulait en direction ouest sur cette rue l'aurait renversé.
Le cycliste, un homme de 76 ans, a été retrouvé inconscient avec des blessures à la tête. Il a été transporté dans un centre hospitalier et l'on craint pour sa vie.
Les policiers ont procédé à l'arrestation du conducteur du véhicule, âgé de 28 ans, impliqué dans l’accident pour conduite avec facultés affaiblies causant des lésions. Il sera libéré sous promesse de comparaître
, précise Sandra Dion, agente aux communications au SPVQ.
Les enquêteurs ainsi que l’Unité d’identité judiciaire sont sur place pour établir les circonstances de l’accident. Un périmètre a été établi, ce qui a ralenti la circulation pendant la période de pointe.
La 3e édition de l’Auto Expo Farnham se tiendra le samedi 9 septembre sur le vaste site du parc municipal Roch-Bourbonnais à Farnham.
En plus de permettre aux amateurs de voitures anciennes de découvrir des modèles d’antan, l’ensemble des recettes générées par cette activité à ciel ouvert ira aux cinq écoles de la municipalité.
:quality(95)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/lescoopsdelinformation/F2SFYFFGLJAFRJIRSVCTWBNTE4.JPG)
« C’est le fun à organiser comme activité. Je suis passionné par le milieu automobile. Nous poussons la machine pour que cette expo grandisse année après année », indique Patrick Thibeault, copropriétaire du Garage P.E. Performance et président du comité organisateur.
Celui-ci possède plusieurs voitures de collection dont un modèle Chevrolet Impala datant de 1963. L’an dernier, les nombreux visiteurs ont pu admirer et photographier quelque 350 véhicules.
:quality(95)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/lescoopsdelinformation/JIW3BTRM2VEWRFRRSGDBTYCUWE.jpg)
« En 2022, il y avait une très belle qualité de voitures sur place. Nous ne compilons pas le nombre de visiteurs, mais je vous assure qu’il y avait beaucoup de monde dans le parc », mentionne M. Thibeault.
Sans la trentaine de bénévoles impliqués, une telle exposition de voitures anciennes ne pourrait pas se tenir.
Ceux qui souhaiteront faire évaluer leur voiture exposée pourront avoir accès à ce service durant la journée. « Il y aura de très beaux prix de présence pour les exposants », glisse l’organisateur de cette activité.
L’Auto Expo Farnham aura lieu de 8h à 15h. En cas de pluie, l’activité sera remise au lendemain, le dimanche 10 septembre.
[unable to retrieve full-text content]
Un véhicule visé par des coups de feu à Saint-Léonard TVA Nouvelles
Peu avant 7 h jeudi, un homme a vu la fenêtre de sa voiture être fracassée sur la rue Notre-Dame Ouest à Victoriaville par un individu qui n’a pas encore été identifié.
La Sûreté du Québec (SQ) a mentionné que la vitre a été frappée à l’aide d’un objet contondant et que l’agresseur a pris la fuite.
La victime a été transportée à l’hôpital pour des blessures mineures, mais collabore peu avec les policiers sur la situation a expliqué la SQ.
L’enquête se poursuit pour tenter d’en savoir plus.
Les propriétaires de ces véhicules, qui logeaient au Motel Blanchett à Drummondville, ont eu la mauvaise surprise ce matin de constater que leurs voitures avaient été ciblées par des vandales. »
En effet, comme la constaté le Vingt55 ce matin vers 6h45, plusieurs véhicules ont été vandalisés dans le stationnement du Motel situé situé sur le boulevard Saint-Joseph.
Des voitures ont été vandalisées, principalement les pneus de plusieurs véhicules ont été crevés. Les actes de vandalisme ont eu lieu la nuit dernière, confirme le porte-parole de la Sûreté du Québec, Louis-Philippe Ruel. Pour le moment, au moins 5 véhicules ont été vandalisés, selon les constatations effectuées tôt ce matin précise le porte parole.
Des patrouilleurs de la Sûreté du Québec (SQ) se sont rendus sur les lieux en matinée pour recueillir les plaintes des clients, les policiers ont rempli les rapports et les plaintes des clients et du personnel du Motel, confirme le porte-parole.
« Des gestes gratuits et imbéciles rapportent des clients rencontrés par le Vingt55. Des jeunes ont visiblement trop de temps libre et ne pensent pas aux conséquences coûteuses et ridicules de leurs méfaits.
Ma famille était de passage à Drummondville. Nous allions rejoindre des proches éprouvés à Montréal. Un arrêt économique qui s’est avéré coûteux en temps et en argent déplore le client. Faire remplacer deux pneus c’est vraiment la dernière chose dont nous avions besoin, ajoute le client en colère, qui ne comprend pas l’intérêt de ce genre de gestes. Des imbéciles, rien d’autre que des imbéciles qui ne savent ni vivre ni fêter ou s’amuser dans la vie. C’est triste et pathétique, sans mots, ajoute-t-il. »
Une enquête est en cours et la Sûreté du Québec collige les informations.
D’autres dossiers pourraient être ouverts au cours des prochaines heures à la lumière de l’enquête en cours sur ces méfaits et actes de vandalisme.
Pour l’instant, l’enquête débute précise le porte-parole, ‘’Quelques témoins sont rencontrés afin de recueillir des informations.
L’enquête de voisinage permettra de récupérer les images des caméras de surveillance du secteur, confirme le porte-parole de la Sûreté du Québec.
Cette enquête pourrait permettre d’orienter le dossier vers un ou des suspects, alors que des témoins rapportent des informations pouvant également faire progresser l’enquête. »
[unable to retrieve full-text content]
Montréal : un homme happé par une voiture finit sa soirée à l'hôpital Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
Drôle de mésaventure aux Îles-de-la-Madeleine: Mathieu Dufour vole accidentellement une voiture Le Journal de QuébecMonterey, Californie – Le V10 atmosphérique de 5,0 litres hurle à son régime maximal de 8 700 tours/minute, et l’Audi R8 V10 performance que je conduis est lancée sur le circuit de Laguna Seca pour ce qui sera ma dernière séance de pilotage au volant de cette sportive à moteur central dont la production cesse en 2023. Devant moi, Tom Kristensen, neuf fois vainqueur des 24 Heures du Mans, est au volant d’une Audi RS e-tron GT évoquant l’amorce d’un nouveau chapitre pour la division de performance de la marque aux quatre anneaux.
Photo: Audi AG
Durant notre courte série de tours du circuit à la tombée du jour, la R8 V10 performance de 602 chevaux se montre d’attaque, et la plongée dans le célèbre virage du Corkscrew est toujours un moment d’anthologie. Pas de doute possible, la R8 est une sacrée machine. Si elle est aussi à l’aise sur circuit que sur la route, c’est en raison de sa génétique partagée avec les R8 GT3 de compétition, 50% des pièces, incluant le moteur, étant communes entre le modèle de série et la voiture de course.
Lancée sur le marché en 2008, la R8 de première génération a posé un nouveau jalon pour le constructeur allemand en devenant la première sportive de haut calibre commercialisée par Audi. Son design singulier avec intégration du fameux Sideblade, son V8 atmosphérique de 4,2 litres monté en position centrale, son rouage intégral et sa boîte manuelle avec levier de vitesses guidé par une grille sont autant d’éléments qui lui ont permis de se démarquer. Rencontré à Laguna Seca, Frank Lamberty, designer de la R8 de première génération, évoque la genèse de ce projet qui s’est développé à la vitesse grand V.
Photo: Audi AG
En l’an 2000, Lamberty a créé un premier concept de design pour la R8, dont le style a été parachevé lors de l’exécution du projet F03, soit F pour Frankfurt Motor Show et 03 pour 2003, puisque la voiture concept allait être dévoilée à l’occasion du Salon de l’auto de Francfort. « Pour dessiner la R8, je me suis inspiré de la sportive Porsche 904, de la moto sport Ducati 996, et du visage d’un aigle. La mission que m’avait donnée Walter Da Silva, alors chef du design de Audi, était celle de créer non pas une sportive à moteur central italienne ou une voiture à moteur central britannique, mais plutôt une sportive résolument allemande. Je me suis donc aussi inspiré des célèbres voitures de course Auto Union des années trente ainsi que du concept Audi Avus, et c’est pourquoi la R8 présente une calandre plutôt haute dont le sommet relie les blocs optiques. En tant qu’adolescent, j’étais aussi fasciné par la Lamborghini Countach et par le fait que son moteur était l’élément central de son design, le poste de pilotage étant très avancé. Pour marquer cette séparation visuellement sur la R8, j’ai choisi de créer le Sideblade qui devenait aussi un élément fonctionnel puisqu’il permettait de canaliser le flot d’air assurant le refroidissement du moteur. »
Photo: Audi AG
Présagée par ce concept appelé Le Mans Quattro, la R8 de série allait voir le jour à l’automne 2006 au Mondial de l’automobile de Paris, sa commercialisation en série débutant par la suite en tant que modèle 2008. D’abord animée exclusivement par un V8, la gamme R8 s’est enrichie avec l’arrivée des Spyder décapotables, et avec le moteur V10 atmosphérique partagé avec la Lamborghini Gallardo, à la suite de la fusion de la marque italienne avec Audi. L’allure frappante et très originale de la R8 a également attiré l’attention d’Hollywood, la bagnole allemande figurant dans les films de la trilogie Iron Man, le producteur de ces films étant lui-même propriétaire d’une R8.
Photo: Audi AG
Pour l’année modèle 2017, une R8 de seconde génération à l’aspect plus technique et plus agressif voit le jour. Exclusivement animée par le V10 atmosphérique de 5,0 litres, cette deuxième génération de la R8 évolue au fil des ans avec l’ajout de variantes de type propulsion faisant d’abord l’objet d’une production limitée à 999 exemplaires avec la R8 RWS, puis devenant des modèles réguliers. À la fin de sa carrière, la R8 est produite en quatre versions, soit des coupés et des Spyder à rouage intégral ou de type propulsion, la R8 GT de type propulsion limitée à 333 exemplaires à l’échelle mondiale s’ajoutant à l’offre pour la dernière année de production du modèle.
Photo: Audi AG
Audi est résolument engagé dans la voie de l’électrification, ce qui laisse présager que la R8 à moteur thermique, laquelle voit aujourd’hui son dernier drapeau à damiers, aura peut-être une descendante « carburant » aux électrons puisque la marque d’Ingolstadt lancera dix nouveaux modèles électriques d’ici à 2026. Histoire à suivre…
:format(url)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/lescoopsdelinformation/46FHLKRJXBDOVBWVNNSUNXJUAU.jpg)
Les événements ayant mené à l’arrestation de Sébastien Gagnon, 38 ans, se sont déroulés jeudi dernier. Le Service de police de la Ville de Gatineau (SVPG) a indiqué, lundi, qu’un patrouilleur a repéré, le 17 août vers 8h15, un véhicule qui avait été rapporté volé la veille. La voiture suspecte se trouvait alors à un feu rouge à l’angle des boulevards de l’Hôpital et Saint-René Ouest.
Le policier a alors effectué une manœuvre dans le but d’intercepter le véhicule en lui bloquant le chemin. «Le chauffeur du véhicule volé a alors fait une manœuvre afin de prendre la fuite, a fait fi des ordres du policier et s’immobiliser et l’a heurté avec son rétroviseur avant de fuir les lieux», rapporte le SPVG dans un communiqué.
Le policier, qui n’a pas été blessé, n’a pas entamé ne poursuite. Grâce à une information reçue du public, il a ensuite pour retracer le véhicule dans un stationnement commercial situé près du boulevard Gréber et de la montée Paiement. Le patrouilleur a alors pu procéder à l’arrestation du suspect.
Sébastien Gagnon a ensuite été transporté au poste de police afin que les enquêteurs puissent le rencontrer. Il a ensuite comparu devant la Cour du Québec, car le Directeur des poursuites criminelles et pénales a autorisé le dépôt de plusieurs accusations contre lui: recel, agression armée contre un agent de la paix, fuite, bris de probation et bris d’engagement, entrave à un agent de la paix et possession simple de stupéfiants. Sébastien Gagnon a également reçu un constat d’infraction au Code de la sécurité routière «en ligne avec son droit de conduite», a ajouté le SPVG.
Quatre suspects à bord d'un véhicule utilitaire sport (VUS) ont ouvert le feu à une dizaine de reprises sur la voiture d'un homme qu'ils ciblaient, lundi soir, alors qu'ils savaient que sa femme et ses trois jeunes enfants se trouvaient sur la banquette arrière.
Selon nos informations, les suspects auraient attendu plusieurs heures que l'homme qu'ils voulaient tuer par balle sorte de son domicile de la rue Desmarteau, dans le quartier Tétreaultville de l'arrondissement Mercier–Hochelaga-Maisonneuve.
Vers 19 h 45, ils ont constaté que leur cible montait à bord de son véhicule. Dès que l'homme a quitté l'entrée du domicile familial, les suspects, à bord de leur VUS, ont accéléré avant d'ouvrir le feu sur la portière du conducteur, sans égard à la vie des trois enfants de 2, 6 et 13 ans.
Le mépris total et le manque d'égard à la vie humaine, ça me dégoûte
, lance André Gélinas, ex-sergent au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), au sujet de la présence de ces enfants lorsque les coups de feu ont retenti.
Malheureusement, la fin justifie les moyens, et ça prime sur la vie humaine. En plus, ça s'est produit en début de soirée. Il n'y a pas plus de considération pour les personnes qui auraient pu se trouver autour dans le quartier résidentiel
, ajoute le policier à la retraite.
Les policiers du SPVM recherchent les douilles laissées au sol, rue Desmarteau, par les tireurs qui ont ouvert le feu sur le véhicule familial d'un homme qu'ils devaient abattre.
Photo : Radio-Canada / Photo: Alain Béland
L'aspect lucratif d'accepter des contrats pour tuer des gens prime sur la vie humaine, même celle des enfants. C'est déplorable.
Par miracle, personne n'a été touché à bord de la voiture familiale.
Cet événement-là me rappelle le petit Daniel Desrochers, durant la guerre des motards. Les criminels avaient vu qu'il était à proximité et ils ont quand même fait exploser le Jeep qu'ils avaient bourré d'explosifs
, souligne M. Gélinas.
Toujours selon nos renseignements, le père de famille, qui venait d'échapper miraculeusement à une tentative de meurtre, a ignoré la panique de ses enfants sur la banquette arrière. Au lieu d'avoir le réflexe de s'enfuir pour mettre sa famille en sécurité, il s'est engagé dans une poursuite à tombeau ouvert pour rattraper les suspects qui s'éloignaient.
Les deux véhicules se sont échangé des manœuvres pour provoquer une perte de maîtrise.
Pourchassés par la cible qu'ils avaient visiblement manquée, les suspects ont ouvert le feu à une deuxième reprise en sa direction, alors que la femme et les enfants étaient toujours à bord de la voiture familiale. Au moins une balle a atteint le véhicule.
Cet événement de violence armée a suscité l'indignation de plusieurs policiers après que des suspects eurent ouvert le feu sans égard à la vie d'enfants innocents.
Photo : Radio-Canada / Photo: Alain Béland
La course folle a pris fin dans une impasse du quartier Tétreaultville, à l'intersection des rues Paul-Pau et Robitaille.
Les suspects, qui ont pris la fuite après avoir abandonné leur véhicule, sont toujours recherchés par le SPVM.
Des enquêteurs ont rencontré le père de famille qui s'est lancé à la poursuite de ses assaillants pour qu'il explique son geste.
Pour moi, ça mériterait un signalement à la DPJ
, affirme l'ex-sergent André Gélinas.
Les «camions légers» représentent aujourd’hui presque le tiers de tous les véhicules sur nos routes. (Photo: 123RF)
OPINION. La déclaration récente du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon, sur la nécessité de réduire approximativement de moitié le parc automobile québécois (et mondial, on présume, logiquement) a fait couler beaucoup d’encre dernièrement.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre par la diminution du nombre de voitures semble être une évidence dans le contexte climatique que nous connaissons.
Même le passage à la voiture électrique, aussi bénéfique peut-il être, ne réglera pas le problème de la multiplication des voitures en raison des besoins immenses en minéraux et de la quantité phénoménale d’énergie électrique que celle-ci nécessite.
Autrement dit, la nécessité d’une politique de réduction du nombre de véhicules au Québec exige également une analyse approfondie de l’ampleur de ce que ceci pourrait impliquer.
En premier lieu, imposer une telle «solution» quand l'entièreté de notre infrastructure et de notre planification urbaine a été conçue pour accommoder et promouvoir la voiture depuis la période d’après-guerre demande qu’on précise un tant soit peu sur les politiques et les moyens employés pour en arriver au résultat voulu.
Bien entendu, il est possible théoriquement de se lancer dans un nouveau modèle d’urbanisme et de développement de l’infrastructure qui pourrait permettre une réduction du parc automobile.
Encore faudrait-il s’entendre sur ledit modèle à adopter, un débat qui fait rage depuis des décennies. Inéluctablement, ce nouveau modèle d’urbanisme doit aussi englober une grande politique économique et sera donc d’une énorme complexité.
Comme le modèle de développement précédent axé sur l’usage de la voiture, un modèle «alternatif» d’une telle complexité sera inévitablement truffé de problèmes, certains dont on ne peut même pas encore imaginer la nature, dont un phénomène redoutable en politiques publiques, économiques et en affaires qu’on nomme la loi des conséquences inattendues.
On ne peut également parler rationnellement d’un tel réalignement structurel sans chiffrer le coût et la faisabilité du chantier pharaonique que ceci représenterait.
On peut penser aux coûts du REM et de l’extension du métro vers Laval pour nous donner une idée de ce qui serait à faire en matière d’infrastructure, ce qui ne serait qu’une fraction de la quantité et de l’ampleur des projets que nécessiterait une réduction substantielle des voitures dans la grande région métropolitaine seulement.
En matière d’utilisation de véhicules, il n’y a que deux grandes catégories au Québec: Montréal et tout le reste. Le ministre Fitzgibbon a d’ailleurs mentionné brièvement que les grands centres urbains devront en faire plus.
De plus, le Premier ministre Legault et le ministre Fitzgibbon ont admis que certaines concessions seront nécessaires dans les villes et les régions ne possédant pas la densité de population nécessaire pour permettre une proximité minimale des services et des commerces et où l’utilisation de la voiture est essentielle à la qualité de vie des citoyens.
Mais il semble difficile d’envisager une réduction du parc automobile dans un tel contexte alors que la croissance de la population au Québec prend principalement place à l’extérieur de l’île de Montréal, au sein de ses banlieues en croissance constante.
Tôt ou tard, l’État ne pourra pas simplement compter sur des incitatifs et la bonne volonté des citoyens, car si cette approche avait fonctionné, le parc automobile québécois aurait déjà diminué, ou du moins stagné. Au contraire, il a augmenté à un taux largement supérieur à la croissance de la population au Québec au courant des dernières décennies.
Pour atteindre ses objectifs, l’État devra adopter des mesures coercitives ou fiscalement punitives peu populaires politiquement pour réduire le nombre de voitures. Ceci suscite quelques questions:
• Quand on réalise que la croissance du nombre de véhicules au Québec est largement la conséquence de la multiplication des «camions légers» (184% entre 2000 et 2021), qui représentent aujourd’hui presque le tiers de tous les véhicules sur nos routes, doit-on instaurer une taxe punitive à l’achat de ces véhicules pour en réduire le nombre?
• Conséquemment, devons-nous appliquer des politiques restrictives similaires à d’autres catégories de véhicules secondaires en croissance forte depuis 2020 comme les véhicules tout-terrain (93%), les motoneiges (58%) et les motocyclettes (139%), qui représentent à trois 12% du parc automobile dans la province?
• Le gouvernement devra-t-il créer deux catégories de citoyens, ceux vivant en ville, principalement à Montréal, et les autres? Ceci pourrait-il occasionner un autre exode de Montréal vers les banlieues alors que certains voudront garder leur voiture à tout prix si les mesures sur l’île devaient être jugées trop strictes par certains?
• Y aura-t-il une limite sur le nombre de voitures par personne (ou par adresse) ou même un plafond global de voitures pour l’île de Montréal ou pour le Québec en entier?
• Comment pouvons-nous comptabiliser la part des automobilistes qui transitent sur l’Île quotidiennement, mais qui vivent en banlieue de Montréal? Auront-ils besoin d’un permis spécial si les mesures diffèrent régionalement?
• Comment gérer ce qui sera pratiquement un coup fatal pour le secteur automobile et des activités commerciales connexes qui verront leur potentiel diminuer de moitié à terme?
• Comment penser que le nombre net de voitures pourrait être réduit de moitié alors que la population devrait croître de façon significative (et donc la demande de voitures) grâce aux politiques d’immigration qui visent des niveaux records au Québec et au Canada? On estime que la population du Québec atteindra dix millions d’individus vers la moitié du 21e siècle (et le Canada 100 millions d’ici la fin du siècle, d’après les objectifs de l’Initiative du siècle).
De toute évidence, si on peut facilement imaginer le résultat final et souhaitable d’un monde avec peu de voitures, il est plus difficile de concevoir les processus et les politiques concrètes qui permettront d’atteindre les objectifs sans heurts majeurs ou qui risquent d’être simplement en contradiction fondamentale avec d’autres politiques.
Paradoxalement, la voiture était initialement une avancée et un progrès sans précédent de la civilisation moderne, une solution aux limitations des moyens de transport de l’époque ainsi qu’un moyen de permettre l’étalement de la population autour des grands centres urbains et éviter une surpopulation de ces derniers.
La fabrication de masse de l’automobile a également permis de transformer ce qui était un bien réservé aux mieux nantis pour rendre la voiture accessible et abordable pour les autres classes économiques, permettant une croissance objective de la richesse matérielle collective.
La voiture était et est toujours un tel succès qu’on peine encore à penser et à concevoir un système économique viable qui permettrait la continuation de la croissance tout en s’en départissant.
Après tout, un des indicateurs de la croissance économique d’un pays est souvent l’adoption en masse de la voiture, comme on a pu le constater en Chine au courant des dernières décennies alors que le pays s’est industrialisé à grande vitesse et que le citoyen moyen a profité de la hausse significative de ses revenus pour s’acheter une voiture.
Une analyse sobre et réaliste ne veut pas dire que nous devons être pessimistes face à l’avenir, bien au contraire.
L’objectif de réduire significativement le parc automobile québécois est non seulement souhaitable pour des raisons écologiques, mais ceci nous donne une occasion en or de repenser et d’améliorer un modèle d’urbanisme et même économique qui semble avoir dépassé ses limites.
L’immobilisme n’est donc pas une option, mais notre empressement ne devrait pas se traduire en naïveté face à l’ampleur de ce chantier pharaonique qui nous attend.
Publié le 31 janvier 2024 à 16h20 Certains objets que nous trimballons dans notre voiture n'aiment pas le froid. Certains peuvent...
