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Un automobiliste ivre dans sa voiture au point de convulser à Saguenay Le Journal de QuébecUn automobiliste ivre dans sa voiture au point de convulser à Saguenay - Le Journal de Québec
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Un automobiliste ivre dans sa voiture au point de convulser à Saguenay Le Journal de Québec[unable to retrieve full-text content]
Les batteries de voitures électriques devront être recyclées, confirme le gouvernement Legault Le Journal de QuébecLes Québécois raffolent de Polestar. À preuve, c’est au Québec que la berline électrique, la Polestar 2, se vend en plus grand nombre en Amérique du Nord. En 2022, 1 038 exemplaires avaient trouvé preneur chez nous, ce qui a permis à cette berline de devancer des modèles électriques populaires comme la Nissan LEAF, le Kia EV6 et les Kia Soul/Niro EV.
Une telle lancée a d’ailleurs motivé Polestar à faire construire sa propre boutique à Laval, et non de demeurer l’extension d’une concession Volvo, composée d’une série de conteneurs recyclés.
Le secret de cette popularité? À mon avis, une approche distinguée en matière de design, une philosophie de construction hyper consciencieuse de l’environnement et, surtout, une plus grande disponibilité sur le marché que la plupart des véhicules électriques. Une Polestar 2 peut être livrée en l’espace de 3 à 4 mois dans un univers où l’on doit patienter plus d’un an avant d’obtenir un Kia EV6 ou un Volkswagen ID.4.
Cette réussite nous amène donc à la suite inévitable des choses : le Polestar 3, le prochain chapitre dans l’évolution de cette jeune marque et le premier VUS pour le constructeur. J’ai eu la chance de m’en approcher dans le cadre d’un événement privé qui s’est tenu en plein centre de New York pour en apprendre davantage à son sujet. Visiblement, pour le groupe Geely, la priorité en Amérique du Nord, c’est Polestar.
Dès les tout premiers débuts de la création de Polestar, le constructeur nous expliquait que, bien que les premiers modèles (les Polestar 1 et 2) affichaient énormément de ressemblance avec les produits de Volvo en matière de design, plus la marque évoluera, plus on commencera à la voir transiter vers une image qui lui est propre.
C’est donc exactement ce qu’on constate avec le Polestar 3. Outre les iconiques phares à DEL « Marteaux de Thor », élément de design normalement associé à Volvo, le Polestar 3 arrive avec un langage de design nettement différent de son jumeau mécanique, le Volvo EX90.
Également de taille intermédiaire, mais à 2 rangées de sièges plutôt que trois chez Volvo, ce VUS transpire la sophistication et la sportivité, tout en conservant les lignes épurées et minimalistes de l’art scandinave. Il incorpore même quelques touches de design fonctionnelles, comme l’aileron qu’on a subtilement intégré à sa partie avant et qui permet de réduire le coefficient de traînée du véhicule, chiffré à 0,29.
Tant qu’à parler design, vous avez sans doute remarqué que ce VUS n’est pas équipé du fameux lidar propulsé par le microprocesseur NVIDIA Drive Orin, que porte fièrement le Volvo EX90 sur son toit. C’est que, contrairement à Volvo qui l’offrira de série, le Polestar 3 proposera plutôt cette technologie en option.
Selon ce que m’a confié Thomas Ingenlath, le PDG de Polestar en marge de l’événement, le constructeur préfère donner le choix à ses consommateurs plutôt que de leur imposer les technologies autonomes.
« Vous savez, la sécurité, c’est la carte de visite de Volvo. Chez Polestar, ce sont plutôt le design et la sportivité. On préfère donc laisser la liberté à nos clients de choisir d’avoir plus ou moins de sécurité à bord de leur véhicule. Cela dit, nous sommes ravis de pouvoir profiter des technologies de Volvo pour faire de nos véhicules les plus sécuritaires sur le marché. »
Or, tout comme le Volvo EX90, le Polestar 3 pourra éventuellement être équipé d’un système de surveillance et d’interprétation de son environnement. Propulsé par l’intelligence artificielle, il pourra ainsi être encore plus efficace sur le mode autonome, mais aussi plus sécuritaire en cas de collision, tout en s’adaptant aux habitudes de son propriétaire. Cette technologie ne sera toutefois qu’ajoutée au véhicule qu’en fin d’année prochaine.
Quand je dis que Polestar sera mis en priorité avant Volvo sur notre territoire, c’est que, même si le Polestar 3 sera construit aux côtés du Volvo EX90 et qu’il lui empruntera la totalité de ses composants techniques, il sera le premier à être commercialisé sur notre marché.
Une stratégie intéressante qui, encore une fois, met Volvo dans l’ombre de sa progéniture. J’ai demandé à M. Ingenlath pourquoi on voit Polestar parfois cannibaliser les ventes de Volvo (la Polestar 2 contre la Volvo S60) et être autant mise à l’avant-plan. Il m’a tout simplement expliqué que l’électrification est celle qui est mise à l’avant-plan. Le but est-il de transformer Volvo en Polestar?
« Ce sont plutôt tous les véhicules thermiques qui se transformeront éventuellement en véhicules électriques », dit-il en riant. « Plus sérieusement, je ne crois pas que Volvo ait besoin de faire autant de publicité que Polestar. C’est une marque qui a un long historique et qui compte déjà son lot d’adeptes. Chez Polestar, nous sommes en mode conquête. Je crois que Volvo et Geely sont très conscientes de cette réalité. C’est ce qui nous donne beaucoup plus d’occasions pour aller saisir de nouvelles parts de marché. »
On pourra donc s’attendre à voir apparaître les premiers exemplaires du Polestar 3 sur nos routes vers la fin de l’année. Ces modèles seront toutefois des exemplaires de lancement, commercialisés qu’à 500 exemplaires dans tout le Canada.
Dans les faits, le Polestar 3 arrivera en grande pompe l’année prochaine où l’on compte livrer entre 1 500 et 2 000 exemplaires au pays. Le véhicule sera d’abord construit en Chine, à l’usine de Chengdu du constructeur, pour ensuite être transféré à l’usine de Volvo située à Charleston, en Caroline du Sud.
Reposant sur l’architecture SPA2 du groupe Geely, le Polestar 3 est alimenté par une batterie au lithium-ion du type NCM (Nickel Cobalt Manganèse) refroidie par liquide et fournie par le fournisseur chinois CATL. Sa capacité utilisable est chiffrée à 111 kilowattheures, ce qui permet d’alimenter deux moteurs électriques, un sur chaque train. La puissance totale combinée développe 360 kilowatts, ou l’équivalent de 489 chevaux, tandis que le couple produit 620 livres-pieds.
Un ensemble de performance permet toutefois de faire grimper la puissance et le couple à 517 chevaux et 671 livres-pieds respectivement. La puissance de recharge dans une borne rapide compatible est chiffrée à 250 kilowatts, tandis que le chargeur embarqué pour la borne de niveau 2 à domicile atteint une puissance de 11 kilowatts.
Enfin, l’autonomie, une estimation de l’EPA qui doit être confirmée par l’instance gouvernementale américaine, s’affiche à 482 kilomètres pour la version ordinaire et à un peu moins de 450 kilomètres une fois que le véhicule est équipé de l’ensemble de performance.
Polestar se targue du fait que le Polestar 3 emploie énormément de techniques innovantes pour réduire son empreinte carbone au moment de sa construction. Le constructeur dit vouloir être le plus transparent possible avec les consommateurs en leur donnant accès à tout le parcours des matières premières jusqu’à la construction de la batterie.
Par exemple, même si la capacité de la batterie de ce VUS est nettement plus grosse que celle d’une Polestar 2, son empreinte carbone est identique. Cette approche hyper consciencieuse de l’environnement se poursuit dans l’habitacle où l’on utilise des matériaux durables sur lesquels Polestar indique les ingrédients et leur empreinte écologique.
Avec son VUS, Polestar compte poursuivre avec un modèle d’affaires en ligne ou en boutique. Les consommateurs peuvent donc commander leur véhicule sur le site du constructeur et exiger qu’il soit livré à un endroit de leur choix, ou de tout effectuer à la boutique située à Laval. Le véhicule affiche un prix de départ de 99 900 $, avant qu’on commence à empiler les options et les ensembles d’accessoires. Il s’agit donc d’un produit de luxe qui tentera de venir voler des ventes aux BMW iX, Mercedes-Benz EQS VUS et Tesla Model X.
RPM aura l’opportunité de mettre le Polestar 3 à l’essai cet automne, quelques semaines avant sa commercialisation, pour vous livrer ses impressions.
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Réveillé par un policier, un chauffard fonce dans une voiture et prend la fuite TVA Nouvelles« Mes parents m’ont récemment appris qu’ils m’ont conçue alors qu’ils faisaient du parking. Je trouve ça très drôle puisque j’aime vraiment les chars, il doit y avoir un lien! Histoire de les taquiner, je me demande s’il est légal d’avoir une relation sexuelle dans une voiture. » - Audrey
Voilà une drôle de question, mais qui est tout à fait pertinente, car effectivement, il y a un aspect légal qui n’est pas négligeable quand on fait un rendez-vous coquin dans une voiture. C’est bien de vivre dans l’adrénaline, mais avant de se faire prendre les « culottes à terre », il vaut mieux de bien réfléchir aux possibles conséquences de l’acte, et là, je ne parle pas de la possibilité d’avoir un enfant 9 mois plus tard ou d’attraper des ITS (infections transmises sexuellement).
D’abord, il faut savoir qu’un véhicule, à l’arrêt ou en mouvement, dans un espace public comme la route, un stationnement ou encore un parc, est aussi considéré comme un espace public. Même sa propre cour, si elle est visible de la rue, entre dans cette définition de « public ». Par conséquent, même assis à l’intérieur de la voiture, alors qu’on peut se croire dans l’intimité, les occupants sont considérés comme dans un espace public.
C’est là que les choses se corsent légalement. Étant dans un espace public, le fait d’avoir une relation sexuelle ou de pratiquer des activités sexuelles dans sa voiture est considéré comme un acte d’indécence et entre légalement dans les paramètres de la loi 173 (1) du Code criminel. De là, on s’expose à des conséquences judiciaires sérieuses. Voyons la définition de la loi 173 (1) et (2) :
(2) toute personne qui, en quelque lieu que ce soit, à des fins d’ordre sexuel, exhibe ses organes génitaux devant une personne âgée de moins de seize ans est coupable :
Le fait d’être en nu ou peu vêtu n’est pas l’acte criminel en soi, il existe des endroits publics clairement définis pour le nudisme. C’est à l’extérieur de ces zones que le problème se manifeste, être dans espace public et être conscient qu’on peut être vu. Ce qui rend l’action illégale, c’est de savoir qu’on peut se faire attraper et de le faire quand même. Les conséquences peuvent être d’autant plus graves s’il s’agit d’une personne mineure de moins de 16 ans qui nous « attrape » et nous dénonce. De plus, les précédents judiciaires ne reconnaissent pas une défense qui avancerait l’ignorance de la présence d’individu(s) dans l’environnement immédiat du véhicule.
Les peines peuvent être très sévères pour ce qui semble être un geste anodin. Cependant, il faut savoir que, dans la grande majorité des cas, les policiers donneront seulement un avertissement. La prison n’est que très rarement envisagée par la justice, les magistrats orientent les peines vers les travaux communautaires et des restrictions légales. Pour conclure la réponse à votre question : oui, vous avez bel et bien été conçue dans l’illégalité. Fort heureusement, vos parents ne semblent pas avoir été « pris sur le fait », car, ils se sont réellement exposés à 2 ans d’abstinence en prison.
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Espagne: un enfant de 8 ans au volant d'une voiture Le Journal de MontréalUne collision est survenue entre une automobile et un véhicule lourd près du viaduc de l’autoroute 70 sur le boulevard Talbot à Chicoutimi, mardi matin.
Le Service de police de Saguenay demande aux automobilistes d’éviter le secteur puisque la circulation est présentement déviée en direction Nord par l’autoroute 70.
Les pompiers ont recours aux pinces de désincarcération pour extirper l’automobiliste coincé dans son véhicule.
On ignore pour l’instant la gravité des blessures des personnes impliquées dans l’accident.
Plus de détails à venir
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Capsule « Voiture d'occasion » : Hyundai Santa Fe XL 2015 RPML’Union européenne (UE) a mis fin lundi à trois semaines de psychodrame lié au blocage allemand et a validé la fin des moteurs thermiques dans les voitures neuves à partir de 2035, mesure centrale du plan climat des 27.
Le texte contraindra les automobiles neuves à ne plus émettre aucun CO2, interdisant de fait les véhicules à essence, au diesel, et hybrides, au profit du tout électrique.
Un « large soutien » a été trouvé parmi les ambassadeurs des 27 pays membres à Bruxelles, a annoncé la présidence suédoise du Conseil de l’UE. Ils ont accepté que ce règlement historique soit « mis à l’ordre du jour » d’une réunion mardi des ministres de l’Énergie pour adoption formelle, ultime étape du processus législatif.
Ce texte s’inscrit dans l’objectif européen de neutralité carbone en 2050.
Il marque la fin d’une époque industrielle. Pendant plus d’un siècle, le Vieux continent, berceau de marques prestigieuses, a dominé l’innovation automobile. Au coeur de son savoir-faire, des moteurs thermiques considérés comme les plus performants au monde.
Berlin avait stupéfié ses partenaires début mars en bloquant le règlement alors qu’il avait déjà été approuvé mi-février par les eurodéputés réunis en plénière, après un feu vert des États membres, dont l’Allemagne.
Pour justifier sa volte-face, rarissime à ce stade de la procédure, l’Allemagne avait réclamé de la Commission qu’elle présente une proposition ouvrant la voie aux véhicules fonctionnant aux carburants de synthèse.
Cette technologie, controversée et encore en développement, consisterait à produire du carburant à partir de CO2 issu des activités industrielles. Défendue par des constructeurs haut de gamme allemands et italiens, elle permettrait de prolonger l’utilisation de moteurs thermiques après 2035.
La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer le texte, qui reste inchangé. Bruxelles s’est simplement engagé à ouvrir plus nettement la voie aux carburants de synthèse dans une proposition séparée qui devra être validée d’ici l’automne 2024.
Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2, s’est réjoui le ministre allemand des Transports Volker Wissing.
De l’avis de nombreux experts, la technologie des carburants de synthèse a pourtant peu de chances de s’imposer sur le marché et ne concernerait dans le meilleur des cas qu’une minorité de véhicules de luxe.
Elle est contestée par les ONG environnementales qui la jugent coûteuse, énergivore et polluante.
Le blocage de Berlin était une initiative des libéraux du FDP, troisième parti de la coalition au pouvoir derrière les sociaux-démocrates (SPD) et les Verts.
Ce petit parti, crédité d’environ 5 % des intentions de vote dans les sondages nationaux, a perdu cinq élections régionales consécutives. Il espère s’affirmer en se posant en défenseur de l’automobile, pariant sur l’hostilité d’une grande partie de la population à l’interdiction des moteurs thermiques.
Pour assurer l’unité de sa coalition, le chancelier social-démocrate Olaf Scholz avait préféré s’aligner sur cette demande et les Verts ont laissé faire.
Finalement, « le texte est inchangé. La règle des 100 % de voitures zéro émissions en 2035 est donc maintenue », avait réagi samedi le président de la Commission Environnement du Parlement européen Pascal Canfin, assurant qu’il serait vigilant sur le respect de la « neutralité climat » des moteurs thermiques qui seront autorisés.
L’industrie a déjà massivement investi dans les véhicules électriques. Même s’ils font leur preuve, les carburants de synthèse, qui n’existent pas aujourd’hui, « ne joueront pas de rôle important à moyen terme dans le segment des voitures particulières », a déclaré récemment Markus Duesmann, patron d’Audi (groupe Volkswagen).
En raison de leur coût, ils n’auront de sens que pour quelques voitures de luxe « comme des Porsche 911 ou des Ferrari », souligne Ferdinand Dudenhöffer, expert du Center Automotive Research en Allemagne.
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Tours des Canadiens: ils cachent leurs clients Airbnb dans leur voiture Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
Tours des Canadiens: ils cachent leurs clients Airbnb dans leur voiture Le Journal de MontréalComme beaucoup d’autres facteurs, l’automobile fait de plus en plus mal dans le budget des familles. Les problèmes de crédits et les refus aux demandes de financement sont de plus en plus nombreux, alors que d’autres refusent avec raison de financer l’achat d’un véhicule à des taux que l’on jugerait aujourd’hui quasi usuraires. Dans l’usagé, il n’est d’ailleurs plus rare de voir des taux conventionnels frôlant les 10%, alors qu’il n’y a pas si longtemps, il s’agissait de taux spécialisés en deuxième chance au crédit.
Voilà pourquoi plusieurs acheteurs en quête d’une nouvelle voiture se tournent désormais vers des véhicules qu’on qualifierait de « minounes ». Des voitures âgées, qui ne sont souvent pas finançables et qui essentiellement, feront l’affaire le temps que la crise financière ne s’amenuise. Autrement dit, des voitures vendues à quelques milliers de dollars, tout au plus, s’accompagnant d’une garantie 30 pieds/30 secondes, à vos risques et périls.
En naviguant sur les sites d’annonces classées, je constate aujourd’hui que de plus en plus de commerçants automobiles conservent ces voitures. Un retour à d’anciennes méthodes pour ces derniers qui, majoritairement, délaissaient ces vieilles voitures pour se concentrer sur des véhicules âgés de sept ou huit ans tout au plus, leur permettant de donner accès à du crédit et d’éviter plus facilement le retour du client (parce que la voiture avait brisé le jour même).
Besoin d’une auto rapidement? Incapable d’accéder à du financement ou d’ajouter un paiement mensuel à votre budget? Vous pouvez aujourd’hui trouver de vieilles voitures qui, malgré un peu de rouille et un kilométrage avancé, pourraient faire le travail. Des voitures loin d’être excitantes, vendues entre 2 000 $ et 4 000 $, peut-être un peu plus, et qui ne représentent pas de gros risques financiers. Parce qu’elles ne déprécieront que très peu, dans la mesure où vous ne déboursez pas de trop gros montants en réparations, et parce que les ferrailleurs paient maintenant près de 1 000 $ pour des voitures complètes, encore en marche.
Si, jusqu’à tout récemment, ce genre de voitures était surtout vendu par des particuliers, on observe actuellement un retour en force de celles-ci chez les marchands. Une situation qui me rappelle un commerce jadis situé à St-Hubert, où j’avais (adolescent) fait l’achat de quelques « minounes ». Parce qu’à 17 ans, sans un sou, j’achetais ce que je pouvais. Certainement pas ce que je souhaitais.
En 1994-1995, ce commerce devait avoir en sa possession autour d’une quarantaine de vieilles voitures, qu’on vendait entre 500 $ et 2 500 $. Aucun financement n’est possible, même chose pour l’inspection. Or, le propriétaire du commerce, un certain M. Fortin, réussissait à fourguer ces vieilles guimbardes avec un taux de roulement assez étonnant. Un festival de Chevrolet Celebrity, Dodge Aries K, Ford Tempo, Renault Alliance et autres grands crus de ce genre, avec parfois quelques voitures japonaises, même si elles étaient rares.
Quelques-uns de mes amis et moi, qui étions dans une situation financière semblable, allions de temps à autre voir l’inventaire de ce commerce. Pour passer le temps, mais aussi pour voir s’il ne serait pas possible de trouver un peu mieux que ce que l’on conduisait à l’époque. Chaque fois que nous approchions d’une voiture pour l’observer, ledit M. Fortin approchait à son tour en nous nous disant : « C’char là, yé douète » (traduction : il est en bon état). Il le disait tellement souvent que c’en était devenu son surnom. Ainsi, puisque Internet n’existait pas et qu’il fallait donc se déplacer pour voir les véhicules, nous passions par chez « Yé douète » quelques fois par mois.
Fortin m’aura d’abord vendu une Mazda 626 1985 au moteur un peu faiblard, laquelle affichait près de 300 000 km au compteur. Une voiture payée 800 $ et dans laquelle j’ai remplacé le moteur quelques semaines plus tard. Il faut dire qu’à l’époque, on se procurait un moteur pour 100 $ à la casse. Deux-trois soirées dans le garage du père d’un ami à se salir les mains et la Mazda avait eu droit à sa greffe mécanique. Quelques mois plus tard, j’aurai revendu à M. Fortin cette voiture pour faire l’acquisition d’une Volkswagen Fox 1988.
Il m’a offert 800 $ pour la Mazda au moteur « neuf », alors que la Fox était vendue à 1 200 $. Bien que solide, cette Volkswagen n’aura duré qu’un mois, avant que la transmission manuelle ne flanche. J’ai ensuite ramené ladite Fox chez M. Fortin qui a tout de même accepté de m’en redonner 700 $, pour me vendre une Sunbird 1988 à 800 $. Celle-là, elle n’aura fait qu’une semaine. Parce que le léger claquement de son moteur 2 litres OHC était finalement plus inquiétant que ce qu’il m’avait laissé entendre.
Bon joueur, M. Fortin a repris la Sunbird sans poser de questions, lui a installé un autre moteur et l’a revendue à un type que j’allais ironiquement croiser quelques semaines plus tard dans un restaurant. Cela dit, cette époque où les voitures vieillissaient beaucoup plus rapidement, mais qui se réparaient avec une poignée de dollars et un peu de débrouillardise est aujourd’hui révolue. C’était l’époque où les prises de diagnostic des voitures n’existaient pas, où les témoins de température, de charge et d’huile moteur étaient les seuls à pouvoir nous inquiéter, et où les pièces ne coûtaient presque rien.
Aujourd’hui, il est beaucoup plus délicat de se procurer de telles voitures, puisque la quantité d’éléments technologiques (même sur une voiture de douze ans) fait en sorte que les problèmes se multiplient et coûtent beaucoup plus cher à régler. Parce que même si on vous dit que la voiture convoitée est « douète », il est clair qu’à ces montants, vous vous achèterez de petits problèmes.
Le Service de police de Sherbrooke a arrêté quatre suspects alors qu'ils volaient un Jeep Wrangler dans la nuit de mercredi à jeudi.
Vers 3 h 30, des citoyens ont contacté les policiers. Ces derniers ont été appelés à se rendre sur la rue de L'Ancienne-Carrière.
Nos agents ont surpris deux suspects à l'intérieur d'un Jeep Wrangler 2021 alors qu'ils étaient à le voler. Deux autres suspects sont également arrêtés sur place
, explique le porte-parole du Service de police de Sherbrooke (SPS), Martin Carrier.
Les suspects sont originaires de Laval, de Terrebonne et de Montréal et sont âgés de 19 à 23 ans.
Le SPS rappelle que les vols de véhicules sont très fréquents. D'ailleurs, il y a eu une trentaine de vols de voiture de plus en 2022 qu'en 2021.
Pour 2023, on ne se trompe pas en disant qu'il y en a eu plusieurs. C'est quasi quotidien
, assure Martin Carrier.
Ce dernier rappelle aux citoyens d'éloigner les clés du véhicule de l'entrée principale pour empêcher les voleurs de les copier grâce à un système informatique.
(Photo: 123RF)
En 2021, les vols de voiture ont été au plus haut depuis 2011 au Québec, selon des données du Groupement des assureurs automobiles (GAA) du Québec rapportées par le comparateur de produits financiers HelloSafe. Pas moins de 8139 vols de voitures ont été relevés par le GAA au Québec en 2021, soit 2709 de plus que l’année précédente, ce qui correspond à une hausse de 49,9 % de ce type de délit dans la province en un an. Sur la période 2016-2021, la hausse des vols de voitures au Québec se chiffre même à 83,3 %. Conséquence logique de l’augmentation du nombre de vols de voiture au Québec, le coût représenté par ce type de délit pour les assureurs s’est élevé à 241,2 millions de dollars en 2021, soit une augmentation de 62,5 % par rapport à 2020.
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La conductrice d'une voiture volée à l'hôpital après une poursuite policière TVA NouvellesAvec la popularité des VUS et des camionnettes auprès des consommateurs, peut-on dire que la voiture sous-compacte est officiellement morte?
« Ce que je trouve intéressant, c’est qu’il n’y a rien en ce moment qui nous indique qu’on arrivera sur le marché — d’ici un an ou deux — avec une nouvelle sous-compacte », mentionne le chroniqueur Antoine Joubert.
Il explique que la Mitsubishi Mirage tire à sa fin, alors que la Chevrolet Spark vient d’être abandonnée. La Nissan Versa demeure sur le marché. « Nissan va l’étirer encore un an ou deux, mais elle ne sera pas renouvelée, c’est évident », estime Antoine.
Sinon, il reste la Kia Rio dans le segment. « Elle est en fin de carrière, mais est-ce que c’est une voiture que Kia va renouveler? Parce qu’elle n’a pas d’équivalent chez Hyundai », se demande l’expert. En effet, Hyundai possède un VUS sous-compact, le Venue, qui remplace la défunte Accent.
Visionnez la capsule vidéo au haut de cet article pour plus de détails.
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Vendre une voiture neuve, comme usagée! | «Ils se vendent les voitures entre eux et là, elle n'est plus neuve!» 98.5 MontréalSi Sergio Pérez et les Red Bulls n’ont pas été en danger lors du Grand Prix d’Arabie saoudite, dimanche, le pilote d’Aston Martin Fernando Alonso a vu son écurie et sa stratégie le saborder.
Pérez a réussi à défendre la position de tête pour une première fois en carrière et a triomphé avec plus de cinq secondes d’avance sur son plus proche poursuivant, son coéquipier Max Verstappen. La troisième place sur le podium revenait à Alonso si ce dernier avait pu éviter non pas une, mais bien deux pénalités.
Alors qu’on pouvait entendre les mécaniciens de l’équipe scander son nom sur l’air de Seven Nation Army, Alonso a lancé des fleurs à son écurie et à la voiture lors d’une entrevue après la course. Il s’est ensuite rendu sur le podium pour célébrer ce qu’il croyait être son 100e podium en carrière.
« L’équipe a créé une superbe voiture. Elle a également géré la course à la perfection, ce qui nous permet d’obtenir un deuxième podium en autant de course », racontait Alonso avant d’apprendre que l’équipe lui avait coûté le troisième rang.
Le pilote de 41 ans a entamé la course sur la deuxième place sur la grille de départ et a donné le ton à la course avec une stratégie audacieuse. Une approche qui lui a permis de prendre le premier rang d’emblée.
Cependant, sa position illégale sur la grille de départ lui a valu une pénalité de cinq secondes à reprendre lors de l’arrêt aux puits. Et quand il a fait son arrêt, son équipe a touché à la voiture avant la fin de la pénalité de cinq secondes, ce qui a mené à une seconde pénalité, cette fois de 10 secondes.
La seconde pénalité à l’Espagnol a permis à George Russell de Mercedes de lui ravir le troisième rang et de compléter le podium.
« Ça ne me dérange pas trop honnêtement [d’avoir célébré ce qui est devenu une 4e place], a confié Alonso au réseau britannique Sky Sports. Je crois que c’est plutôt la FIA (la Fédération Internationale de l’Automobile) qui a mal paru aujourd’hui.
On ne peut pas appliquer une pénalité 35 tours après l’arrêt aux puits. Ils ont eu suffisamment de temps pour s’informer sur la pénalité. Si je l’avais su, j’aurais peut-être gagné 11 secondes sur la voiture derrière la mienne. Je crois qu’aujourd’hui nous n’avons pas offert un bon spectacle à nos partisans.
Fernando Alonso
Ce n’était pas la seule mauvaise nouvelle de la journée pour Aston Martin, qui tente de rivaliser avec Ferrari – et potentiellement Mercedes – pour le titre de deuxième constructeur.
Malgré un départ encourageant pour Lance Stroll, le Québécois a vu sa course tourner au vinaigre rapidement. Il a momentanément pris le 4e rang, mais un arrêt aux puits mal calculé a permis aux deux voitures Ferrari de le coiffer. Puis au 16e tour, sur la radio de l’équipe, Stroll a reçu l’ordre « d’arrêter la voiture, arrêter la voiture immédiatement ».
Aux dernières nouvelles, ce serait son système d’exploitation qui a failli.
Parmi les autres résultats, Lewis Hamilton a pris la 5e place. La Scuderia a suivi, respectivement, avec Carlos Sainz et Charles Leclerc aux 6e et 7e rangs.
Malgré une deuxième victoire en autant de courses pour l’écurie Red Bull, le sacre du Mexicain n’a pas été la seule histoire chez les champions en titre. Celui qui a vécu un cinquième triomphe en Formule 1, détenait le tour le plus rapide jusqu’à la toute fin. Littéralement.
Verstappen a fait preuve de patience et a fait fi de sa 15e position de départ pour terminer au deuxième rang. Le Néerlandais a attaqué lentement chaque adversaire – notamment grâce à la sortie de la voiture de sécurité qui a suivi l’abandon de Stroll – avant de prendre une avance confortable sur Alonso. Arrivé au dernier tour, il a décidé d’appuyer sur l’accélérateur. Son 50e et dernier tour était le bon et il a ainsi ravi un point à son coéquipier pour le classement des pilotes.
Le champion en titre a donc dépassé Pérez par un point au cumulatif après deux courses. Bon joueur, le Mexicain n’a pas semblé irrité de la manœuvre de Verstappen.
« L’important, c’est que nous étions la voiture la plus rapide. Je suis fier de nous », a-t-il lancé.
Verstappen a connu des ennuis avec la voiture la veille et a également dû composer avec quelques pépins techniques en fin de course. Cela ne l’a pas refroidi à l’idée d’aller chercher le tour le plus rapide.
« À un certain point, nous avons décidé de ne pas tenter d’aller chercher la première place, mais de nous contenter du deuxième rang, a admis Verstappen. Ce qui n’est pas si mal dans les conditions. […] J’ai tenté d’en faire plus [pour obtenir le tour le plus rapide]. En fin de compte, ç’a fonctionné. »
Les deux voitures de l’écurie autrichienne se sont emparées des deux premières positions lors des deux premières épreuves de la campagne. Si c’est « une bonne nouvelle » selon Pérez, Verstappen est prêt à s’engager dans une lutte avec son partenaire. « On est autorisé à s’affronter donc c’est le meilleur qui sera devant », a-t-il estimé.
Avec des informations de l’Agence France-Presse
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Des centaines de véhicules neufs maquillés en voitures d'occasion Le Journal de Montréal17 mars 2023
Bienvenue à cette édition des Drôleries du vendredi!
Voici quelques-unes des vidéos les plus loufoques, comiques ou spectaculaires qui ont retenu notre attention récemment.
C’est parti!
C’est spectaculairement inutile. Installer une roue en arrière d’une voiture qui la fait tourner en rond. Mais ça pique la curiosité non?
Toujours dans le sujet « avoir juste une roue », voici des images du championnat du monde d’unicycle artistique. Vous ne le saviez pas, mais il vous fallait voir ces images aujourd’hui. (avertissement, c’est très très moyen)
Ok, je vous entend. Vous voulez de quoi de vraiment magnifique pour finir? Parfait. Voici ceci :
Ces vidéos, et d’autres, seront présentées lors de la chronique Balle Courbe dans l’émission Le 5 à 7 à RDS. Ne manquez pas ça!
Les constructeurs d’automobiles font une course contre la montre. Ils doivent réussir à produire un nombre suffisant de véhicules électriques pour fournir des pays dans le monde entier qui exigeront uniquement la vente de véhicules propres. De mieux en mieux implantés dans le marché de l’automobile mondial, ces véhicules ne sont cependant pas adaptés à chaque conducteur. Le prix étant le principal frein, les constructeurs s’efforcent de trouver des façons de diminuer le coût d’acquisition. Volkswagen a dévoilé l’ID.2all, une voiture concept qui donne le premier aperçu de ce à quoi ressembleront les prochaines voitures à traction de la marque. Le véhicule de production se vendra à un prix de départ oscillant autour des 32 000 $ canadiens, mais celui-ci ne sera réservé qu’à l’Europe pour le moment.
Pour parvenir à offrir un prix plus faible, Volkswagen a fait appel à la plateforme MEB Entry. Par comparaison avec la plateforme MEB sur laquelle le Volkswagen ID.4 repose, la MEB Entry sera la base des modèles électriques à traction du groupe. C’est donc dire que la voiture produite sous l’inspiration du concept ID.2all sera la première voiture électrique à traction du constructeur, après l’e-Golf.
L’utilisation de cette plateforme fait en sorte que l’ID.2all est plus courte de 234 millimètres que la Volkswagen Golf actuelle. La voiture électrique concept affiche donc une longueur de 4 050 millimètres, une largeur de 1 812 millimètres et une hauteur de 1 530 millimètres ; elle a un empattement de 2 600 millimètres soit quelques millimètres de moins que celui de la Golf.
Pour alimenter cette voiture du type sous-compact, Volkswagen a choisi un moteur qui produit 166 kilowatts (environ 222 chevaux). Cette puissance se rapproche drôlement des 241 chevaux que la Golf GTI de 8e génération délivre. Selon Volkswagen, l’ID.2all serait en mesure d’effectuer le 0 à 100 kilomètres/heure en mois de 7 secondes. La puissance est une chose, l’autonomie en est une autre. Volkswagen précise que l’autonomie de la petite voiture concept atteindrait 450 kilomètres, selon le cycle de test WLTP. La capacité de la batterie n’est pas connue au moment d’écrire ces lignes, mais le constructeur allemand précise que la batterie pourra être chargée de 10 à 80 % en 20 minutes dans une station de recharge à courant continu (DC).
À première vue, le design du véhicule concept à traction de Volkswagen ressemble drôlement à l’évolution électrique de la Golf. Cependant, rien ne permet d’affirmer que c’est bel et bien le cas. Volkswagen se contente d’expliquer que l’ID.2all offre un aperçu du nouveau langage de conception de l’entreprise. Selon le patron du Design, Andreas Mindt, ce langage est « basé sur les trois piliers de la stabilité, de la sympathie et de l’excitation ».
Volkswagen a travaillé des éléments structuraux propres à son histoire, dont le fameux pilier C à l’arrière du véhicule qui a contribué à donner la notoriété de plaisir derrière le volant de la Golf. Dans le cas de l’ID.2all, le pilier C a été incorporé davantage au véhicule, faisant maintenant partie intégrante du panneau latéral de la voiture. Toujours selon Andreas Mindt, cette amélioration structurale donnera un caractère stable et bien ancré sur la route au véhicule de production qui découlera du concept ID.2all.
Les roues de 20 pouces, l’énorme barre à DEL lumineuse à l’avant et le gabarit du type à hayon du véhicule sont également des éléments soulevés par le patron du Design de Volkswagen pour exprimer une position puissante sur la route. À noter que le concept se rapproche drôlement d’une voiture de préproduction, mais que le constructeur affirme tout de même que cette voiture est un concept porteur de l’avenir du groupe.
Imelda Labbé, responsable du Marketing chez Volkswagen, a précisé que la plateforme MEB Entry permettra au constructeur d’offrir plus d’espace de chargement dans les futurs véhicules du groupe. En comparant l’ID.2all avec la Golf, la nouvelle plateforme MEB Entry offre effectivement plus d’espace à l’intérieur. Le coffre offre 490 litres de chargement quand le dossier des sièges est relevé, soit 74 litres de moins qu’une Golf de 8e génération. Cependant, une fois le dossier des sièges rabaissé, l’espace de chargement passe à 1 330 litres, soit 353 litres de plus qu’une Golf. De plus, l’ID.2all est équipé de plusieurs compartiments de rangement supplémentaires. L’un se trouve dans le coffre du véhicule, l’autre, d’une capacité de 50 litres, sous la banquette arrière.
Bien évidemment, une panoplie de technologies se retrouvent dans l’habitacle, à commencer par les 2 écrans en face du conducteur. Un premier, de 10,9 pouces, fait office de tableau de bord numérique affichant les données de conduite essentielle. Le second, de 12,9 pouces, sert principalement au divertissement et à la navigation. Le véhicule pourra également être équipé d’un affichage tête haute, d’un chargeur de téléphone par induction et de sièges électriques avec fonction de massage en option pour ne nommer que ceux-ci. Il faudra voir le véhicule de production officiel avant de pouvoir affirmer si ses éléments seront réellement ajoutés.
Pour conclure, l’ID.2all n’est pas attendue sur le marché nord-américain. Volkswagen a laissé planer que cette voiture, destinée à l’Europe, serait fort probablement offerte à partir de 2025.
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La vente de votre voiture pourrait coûter cher en impôt Le Journal de Québec(Hampstead) Une automobile a été détruite par un incendie criminel en fin de nuit, vendredi, dans la municipalité de Hampstead, dans l’ouest de l’île de Montréal.
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) signale que le sinistre n’a pas fait de blessé apparent, mais qu’aucune arrestation n’a pu être effectuée.
La police a été avisée vers 3 h 50 que l’incendie était en cours dans une entrée résidentielle de la place Harland.
À l’arrivée des policiers sur les lieux, les pompiers du Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) étaient déjà à l’œuvre pour éteindre le feu. Il n’y a pas eu de propagation des flammes à la maison.
Peu après, un objet ayant servi à allumer l’incendie a été trouvé.
L’automobile est une perte totale. Elle devait être remorquée plus tard vendredi afin que les enquêteurs de l’escouade des incendies criminels du SPVM puisse l’examiner.
Certains diront qu’il n’est jamais trop tôt pour s’initier aux joies de la conduite automobile et du sport motorisé, à condition bien sûr d’avoir un bolide approprié pour son âge.
Habituellement, cela commence par quelques expériences en karting, mais pour Zayn Sofuoğlu, un gamin turc d’à peine 3 ans, le temps était venu de conduire… une Ferrari de près de 1 000 chevaux!
Avec la bénédiction et les encouragements de son père Kenan, un ancien pilote de moto qui a remporté cinq fois le championnat du monde de Supersport, l’enfant s’est retrouvé au volant de la bombe à motorisation hybride du constructeur italien, la SF90 Stradale, pour une séance de quelques tours sur un circuit fermé. Le tout, bien sûr, a été filmé et partagé sur Instagram :
Quelques précisions doivent être apportées. D’abord, si l’on se fie à son profil, le jeune Zayn n’en est pas à ses premières doses d’adrénaline. Il a en effet déjà conduit des motos, scooters, karts, côte-à-côtes, motomarines et même d’autres voitures (moins puissantes que la Ferrari, certes).
Ici, la SF90 Stradale a été adaptée avec des extensions de pédales et un gros siège d’appoint pour l’apprenti pilote haut comme trois pommes. Vêtu d’une combinaison et d’un casque de course, ce dernier s’est élancé sur la piste et a attaqué les virages avec un contrôle renversant pour son si bas âge.
On peut se demander si la fonction Valet a été activée sur la voiture afin de limiter la puissance à sa disposition. Mais au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, Zayn change lui-même les vitesses à l’aide des palettes au volant au lieu de laisser la transmission en mode automatique. Il faut le faire!
La vidéo ne permet pas de voir si d’autres précautions ou mesures de sécurité ont été prises lors de la séance. Espérons que oui. Ironiquement, il y a quelques jours, Ferrari a émis un rappel pour la SF90 Stradale aux États-Unis parce que certains sièges sont trop petits pour y installer un siège pour enfant de façon sécuritaire, c’est-à-dire en tenant compte d’un possible déploiement du coussin gonflable.
Croyez-vous que le père est allé trop loin en laissant son jeune de 3 ans piloter une voiture sport de la sorte? N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires.
Un homme de 27 ans de Waswanipi a été frappé par un véhicule jeudi matin sur la route 111 à Amos.
L'accident a eu lieu à la hauteur de l'avenue Thibault peu avant 5 h 30.
La victime, transportée à l'Hôpital d'Amos, se trouvait dans un état critique après la collision selon la Sûreté du Québec.
Le conducteur a également été transporté au centre hospitalier, mais par mesures préventives
, indique Nancy Fournier, agente à l’information de la Sûreté du Québec.
La circulation se fait au ralenti dans le secteur de l'avenue Thibault et de la route 111.
Une enquête est en cours pour déterminer les causes et les circonstances de l’accident.
Publié le 31 janvier 2024 à 16h20 Certains objets que nous trimballons dans notre voiture n'aiment pas le froid. Certains peuvent...