Que votre voiture soit neuve ou usagée, il est toujours frustrant de voir apparaitre des égratignures sur la peinture de son véhicule. Bien que dans certaines situations il soit préférable de confier les travaux de réparation à un atelier de carrosserie, il est parfois possible d’éliminer les rayures quand elles ne sont pas trop profondes. Voici les 4 étapes pour éliminer les égratignures de la voiture.
Nettoyez votre véhicule
La première étape consiste à nettoyer votre voiture pour la débarrasser de toute saleté ou débris. Il est important de vous assurer que la zone est complètement propre avant d’y appliquer un produit ou d’essayer de polir la zone. Toute saleté ou débris laissé sur la surface lorsque vous la polissez entraînera plus d’égratignures.
Pour ce faire, arrosez votre véhicule avec un boyau d’arrosage avant d’y appliquer du savon. Ensuite, utilisez une éponge ou une brosse destinée au lavage des voitures pour faire pénétrer le savon. Rincez complètement le savon et séchez votre voiture avec des serviettes en microfibre.
Assurez-vous d’avoir le bon matériel
Pour réparer les égratignures sur votre voiture, vous aurez besoin d’un produit spécifiquement conçu à cet effet, ainsi que d’un linge en microfibre ou un tampon de polissage. Vous pouvez vous procurer des produits anti-égratignures dans les magasins de fournitures automobiles. Ces produits sont souvent vendus sous forme de kit qui comprend la solution anti-égratignures et un tampon de polissage pour appliquer le produit.
Appliquez le produit anti-égratignures
Appliquez une petite quantité de produit sur le tampon. Vous aurez peut-être besoin d’un peu plus ou moins selon la taille de l’égratignure. Versez le produit sur le tampon de polissage ou le linge en microfibre, puis pliez-le en deux pour faire pénétrer le produit sur toute la surface du tampon ou du linge, et assurez-vous que le produit est uniformément réparti avant de commencer l’application.
Appliquez le produit dans l’égratignure et les zones environnantes, en utilisant un mouvement circulaire ou un mouvement de va-et-vient, mais ne changez pas de méthode. Faites seulement des allers-retours ou seulement des cercles. Continuez à faire pénétrer le produit pendant quelques minutes afin qu’il soit bien réparti.
Éliminez les résidus de produit
Une fois que vous avez fini de polir l’égratignure, utilisez un chiffon en microfibre propre pour essuyer l’excédent de produit. Polissez la surface de la voiture où vous avez appliqué le produit en effectuant un mouvement circulaire. Ne laissez pas l’excès de produit sécher sur la surface de votre voiture.
Si après un premier traitement les égratignures sont toujours visibles, vous pouvez répéter le processus d’application du produit et du polissage jusqu’à 2 ou 3 fois. Il faut savoir que si les égratignures sont trop profondes, il sera probablement nécessaire de faire des retouches de peinture. On retrouve des kits de peinture automobile à faire soi-même dans les magasins de fournitures automobiles, et si vous suivez bien les étapes, vous arriverez à faire disparaitre ou atténuer l’égratignure. Cependant, pour un résultat professionnel et durable, il est souvent préférable de confier les réparations à un atelier de carrosserie.
Lightyear travaille sur une technologie solaire qui peut augmenter l’autonomie de ses véhicules
Le constructeur vise une autonomie de 724 kilomètres
Les tests en conditions réelles ont montré une autonomie de plus de 400 kilomètres
Lightyear a présenté les résultats des plus récents tests de son prototype de véhicule solaire-électrique, la Lightyear One.
L’entreprise vise à faire de ce modèle l’un des véhicules électriques les plus efficaces et l’autonomie visée est de 724 kilomètres.
Les résultats des tests effectués dans des conditions non optimales montrent que l’entreprise se rapproche de ces objectifs. Ces tests ont été effectués sur le terrain d’essai de Bridgestone en Italie dans des conditions qui reflètent mieux l’environnement dans lequel la version de production sera conduite.
En effet, les températures n’ont atteint en moyenne que 10 degrés Celsius, ce qui est préjudiciable à l’efficacité des batteries. De plus, la vitesse à laquelle roulait le prototype a été portée de 85 km/h à 130 km/h constants, une vitesse courante sur les autoroutes en Europe et dans certains États américains.
Dans ces conditions, la Lightyear One a réussi à rouler sur plus de 400 kilomètres, soit 1,5 fois plus que les VE comparables, selon le constructeur automobile.
L’efficacité de la Lightyear One serait également l’une des meilleures parmi les autres véhicules électriques du marché, avec 141 Wh/km contre une moyenne de 211 Wh/km pour la concurrence.
Il est intéressant de noter que la longue autonomie du véhicule n’est pas obtenue grâce à une grande batterie, mais plutôt grâce à l’aérodynamisme et à la technologie solaire de l’entreprise. En effet, le prototype n’est équipé que d’une batterie de 60 kWh, plus petite que la plupart des autres VE.
Cela pourrait conduire à des avancées dans l’industrie qui permettraient d’intégrer des batteries plus petites dans les véhicules électriques, ce que de nombreux constructeurs automobiles tentent de réaliser afin de fabriquer des voitures plus agréables à conduire, moins chères et plus respectueuses de l’environnement.
Neuf personnes ont perdu la vie samedi à Las Vegas, dans l’ouest des États- Unis, dans un carambolage causé par un conducteur qui a grillé un feu rouge, entrant en collision avec cinq autres véhicules, a indiqué la police.
Une personne était en outre dans un état critique après cet accident dans la ville du Nevada aux nombreux casinos.
«Nous n’avons pas vu d’accident de la route aussi meurtrier dans le passé», a déclaré le porte-parole de la police Alexander Cuevas.
Capture d'écran-Source CNN
Vers 15h, un véhicule Dodge Challenger a grillé un feu rouge à un carrefour, roulant à «grande vitesse», a déclaré le porte-parole lors d’une conférence de presse.
Il a ensuite «percuté de nombreux véhicules, entraînant le chaos», a-t-il ajouté, précisant que l’accident avait impliqué six véhicules et 15 personnes.
Les occupants du véhicule fautif ont tous perdu la vie.
L’homme rêve à la voiture volant depuis le début des années 1900. Quantité de prototypes ont vu le jour au fil des années et on est bien passé près de voir la technologie se concrétiser au milieu du siècle dernier avec le Convair Model 118.
Les efforts se sont accentués ces dernières années et avec les technologies aujourd’hui à la disposition des ingénieurs, on peut le dire, ce n’est qu’une question de temps avant qu’on voit plusieurs modèles sur le marché, mais pour ce qui est de leur circulation libre dans les airs, ça, c’est une autre histoire.
On aura peut-être une première réponse en provenance de la Slovaquie où une voiture capable de se transformer en petit avion a passé avec succès les tests de vol des autorités, selon ce que racontent les concepteurs du bolide.
L’AirCar a reçu un certificat officiel de navigabilité de l’autorité slovaque des transports après avoir subi 70 heures de tests de vol rigoureux, selon Klein Vision, la compagnie à l’origine de ce véhicule volant.
Les vols d’essai, qui comprenaient plus de 200 décollages et atterrissages, étaient compatibles avec les normes de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), a indiqué la compagnie via un communiqué de presse émis lundi.
« Les tests comprenaient toute la gamme de manœuvres de vol et de performance et (le véhicule a) démontré une étonnante stabilité statique et dynamique en mode avion », a déclaré la firme.
Un porte-parole de Klein Vision a déclaré au réseau CNN (qui rapporte la nouvelle) qu’une licence de pilote est nécessaire pour opérer le véhicule hybride, et il a ajouté que son entreprise espérait commercialiser l’AirCar d’ici les 12 prochains mois.
Conception
Une équipe de huit spécialistes a passé plus de 100 000 heures à convertir des concepts de design en modèles mathématiques qui ont conduit à la production du prototype.
L’AirCar est propulsée par un moteur BMW de 1,6 litre et fonctionne avec du carburant que l’on peut trouver… à la station-service. Le véhicule peut voler à une altitude maximale de 18 000 pieds.
En juin, la voiture volante a effectué un vol d’essai de 35 minutes entre les aéroports de Nitra et de la capitale slovaque Bratislava. Après l’atterrissage, l’appareil s’est transformé en voiture et s’est rendu au centre de la ville, tout simplement.
« La certification de l’AirCar ouvre la porte à la production de masse de voitures volantes », a déclaré le pilote d’essai Stefan Klein, inventeur de la voiture et chef de l’équipe de développement.
D’autres véhicules du genre sont en cours de développement, comme le PAL-V Liberty, un gyroplane qui se transforme en véhicule routier. Ce dernier a été conçu par la société néerlandaise PAL-V. Le produit a reçu une base de certification complète de l’AESA et a été homologué par le ministère de l’Environnement. Il ne lui reste qu’à franchir l’étape finale de la « démonstration de conformité », selon ce qu’explique le site web de l’entreprise.
La compagnie américaine Terrafugia a obtenu un certificat de navigabilité de la FAA (Federal Aviation Agency) pour son véhicule Transition.
Bref, on se dirige lentement vers l’apparition de ces modèles sur le marché. Plusieurs les voient comme des solutions de rechange aux hélicoptères ou à d’autres moyens de transport sur courtes distances. On peut penser aux navettes d’aéroports.
Et l’on aura éventuellement droit à des véhicules volants tout électriques, c’est écrit dans le ciel.
Une voiture volante approuvée en Slovaquie Attendez avant de vous ruer pour réserver un modèle ; pour en prendre le contrôle, vous devrez présenter votre licence de pilotage - Auto123.com Read More
Une voiture volante appelée AirCar a obtenu un certificat officiel de navigabilité. Cette certification ouvre maintenant la porte à sa production de masse.
Dès juin dernier, les yeux se tournaient vers l’AirCar qui réussissait un premier vol de 35 minutes. Depuis, la voiture volante a subi de nombreux autres tests menés par les autorités slovaques et l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) avant d’obtenir son certificat.
Cette voiture capable de se transformer en petit avion a réussi avec succès 70 heures de tests, incluant plus de 200 décollages et atterrissages.
«Les tests de vol difficiles comprenaient toute la gamme des manœuvres de vol et de performance et ont démontré une étonnante stabilité statique et dynamique en mode avion», a déclaré Klein Vision, la société à l’origine de ce «véhicule bimode voiture-avion».
L’AirCar est alimentée par un moteur BMW de 1,6 litre et fonctionne avec du carburant ordinaire. Le véhicule peut voler à une altitude maximale de 18 000 pieds. Après un atterrissage, l’avion se transforme en voiture et peut être conduit sur les routes.
Selon Morgan Stanley, le marché des voitures volantes pourrait représenter 1,5 trillion de dollars (US) en 2040. De quoi faire rêver bien des industriels.
Dans l’aviation, le terme «distances moyennes» correspond à des parcours inférieurs à 2 000 km. (Photo: Getty Images)
Bratislava — La voiture volante slovaque AirCar a obtenu un premier feu vert pour s’envoler avec le certificat de navigabilité décerné par l’Autorité des transports à Bratislava, a annoncé mardi cet organisme public slovaque.
«La certification d’AirCar ouvre la porte à la production en série de voitures volantes très efficaces», a déclaré Stefan Klein, fondateur et patron de KleinVision, l’entreprise qui a conçu et fabriqué ce véhicule hybride, mi-voiture, mi-avion.
«C’est une confirmation officielle de notre capacité à transformer définitivement les voyages sur les moyennes distances», a-t-il affirmé dans un communiqué de presse.
Dans l’aviation, le terme «distances moyennes» correspond à des parcours inférieurs à 2 000 km.
AirCar a réalisé son premier vol interurbain en juin 2021. Propulsé par un moteur BMW de 1,6 litre, il peut décoller d’une piste de 300 m de long. Volant à 170 km/h, son autonomie est de 1 000 km.
La transformation automatique, commandée par un seul bouton, de la voiture en avion ne demande que trois minutes, selon le constructeur.
Pour obtenir la certification, l’appareil a subi 70 heures d’essais en vol et plus de 200 décollages et atterrissages, a précisé KleinVision.
La certification de navigabilité de la voiture volante a été confirmée à l’AFP par le directeur de l’Autorité slovaque des transports René Molnar. Il reste à KleinVision à obtenir la certification de type d’aéronef pour lancer l’exploitation commerciale de son appareil.
Pour les aéronefs civils, ce certificat est délivré en Europe par l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (AESA).
Les responsables des magasins à grande surface du Saguenay–Lac-Saint-Jean doivent s’adapter à la vérification des passeports vaccinaux. Certains s’en tirent mieux que d’autres...
Pour faire réparer sa voiture chez Hyundai du Saguenay ou simplement venir récupérer des pièces, il faut montrer son passeport vaccinal.
«Ça fait un peu spécial de montrer ça dans un garage, mais c'est correct!», souligne Réal Truchon, qui avait rendez-vous pour un bris sur sa voiture.
«Je trouve ça quand même surprenant, constatait une autre cliente en règle. Ici, ce n'est pas comme un Costco ou un Walmart, où la clientèle est plus abondante.»
L'obligation de vérifier le passeport est toutefois critiquée par la Corporation des concessionnaires. À travers le Québec, 50% des concessionnaires automobiles ont une superficie de 1500 mètres carrés et plus. La mesure crée donc deux catégories, selon le président régional Olivier Blouin.
«C'est presque une concurrence déloyale, déplore-t-il. On a un non-vacciné qui ne serait pas admis ici, mais qui peut se rendre chez un plus petit concessionnaire pour acheter un véhicule.»
«Il y a aussi des propriétaires qui exploitent à la fois un garage de plus de 1500 mètres carrés et un autre plus petit, donc le même propriétaire est contraint de vérifier à un endroit, mais pas à l’autre», illustre M. Blouin.
La corporation provinciale a demandé à soustraire l'atelier mécanique du calcul de la superficie, mais la demande a été refusée par les autorités.
«Les clients n'ont pas accès à cet atelier», invoque M. Blouin.
La quincaillerie indépendante RÉNOCENTRE RDB de Chicoutimi a toutefois contourné la règle en réduisant sa superficie accessible à la clientèle.
«On a vérifié avec un avocat et on nous assure que c'était légal», dit l'un des copropriétaires, Normand Blanchette.
«On avait reçu beaucoup d'appels de nos clients la semaine dernière qui nous questionnaient là-dessus. Pour vérifier le code QR, on aurait dû engager du personnel pour nos deux entrées», ajoute-t-il.
Le Saguenay–Lac-Saint-Jean affiche l'un des meilleurs taux de vaccination au Québec, ce qui encourage les commerçants.
Un jeune homme plutôt imprudent sur les routes a trouvé le moyen de se mettre dans de beaux draps non seulement aux yeux de la police, mais aussi auprès de sa mère.
Tout a commencé dans la nuit de samedi à dimanche à Abbotsford, en banlieue de Vancouver, lorsque des patrouilleurs ont vu filer une voiture à plus de 200 km/h sur l’autoroute 1.
At 2:40 am today, this 20-year old N driver passed an unmarked police vehicle at speeds over 200 km/hr on Hwy #1 at Sumas Way. The car was going so fast that the engine blew. Driver charged with excessive speed, driving without consideration & failing to display his N. Car Seized pic.twitter.com/KSdJlITV0a
— Abbotsford Police Department (@AbbyPoliceDept) January 23, 2022
Intercepté par les policiers qui lui ont demandé pourquoi il était si pressé, le jeune automobiliste de 20 ans a tout bonnement expliqué qu’il «souhaitait voir jusqu’à quelle vitesse sa voiture pouvait aller», selon ce qu’a relaté le porte-parole de la police Paul Walker aux médias locaux.
Malheureusement pour le jeune homme, son bolide, une Mazda Protégé 2003 cumulant près d’une vingtaine d’années de bons et loyaux services, n’a guère apprécié l’expérience et a rendu l’âme, sous forme d’explosion du moteur, s’est amusé le corps policier en publiant une photo de la voiture avec des volutes de fumée s’échappant de sous le capot.
Pire encore pour le conducteur, la voiture en question était celle de sa mère, a souligné l’agent Walker.
Le jeune homme a écopé de 788 $ en amendes pour ses offenses au code de la sécurité routière et devrait se faire suspendre son permis de conduire. Quant à la voiture – ou du moins ce qu’il en reste –, elle a été remorquée et saisie pour une durée de sept jours.
Une jeune femme de 25 ans a échappé à la mort grâce à la vigilance de son voisin après une intoxication au monoxyde de carbone causée par un catalyseur défectueux, mercredi dernier.
« J’attendais simplement dans la voiture, qu’elle dégèle, puis c’est le black-out. Quand je me suis réveillée à l’hôpital, je ne comprenais rien », raconte émotivement Sarah Amoura, une étudiante en kinésiologie originaire de la France qui habite à Québec.
Ce matin-là, Pierre Bilodeau déneigeait son balcon quand il a constaté que la voiture de la jeune femme était en marche depuis un certain temps.
Constatant qu’il y avait encore beaucoup de buée dans les fenêtres – signe qu’il y avait quelqu’un à l’intérieur – il s’est approché pour voir si tout allait bien.
C’est à ce moment qu’il a vu Mme Amoura qui respirait à peine, affalée sur son siège, le cellulaire encore ouvert en main.
« J’ai tout de suite ouvert les portes et éteint le moteur.
« En appelant les secours, j’ai tenté de la réveiller en la secouant, mais il n’y avait aucune réponse », se rappelle M. Bilodeau, encore ébranlé par l’événement.
Catalyseur défectueux
Arrivée depuis un an dans la province pour ses études, Sarah Amoura venait de se procurer une vieille voiture d’occasion avant l’hiver.
La semaine avant l’incident, un garage lui a indiqué que le catalyseur de sa voiture était brisé, mais qu’il n’y avait pas de danger à court terme. Ça a été une grossière erreur.
Une partie des gaz toxiques qui s’échappaient de la voiture ont été renvoyés à l’intérieur de l’habitacle.
Le tout, aidé par des petits trous sous la voiture et une certaine quantité de neige qui s’était amassée autour de celle-ci.
« Le médecin m’a dit que si j’étais restée 10 minutes de plus, je serais morte.
« Une chance que j’avais un ange gardien », a souligné l’étudiante, faisant référence à son voisin.
Un produit sournois
Traumatisée par l’événement, Mme Amoura n’est plus montée dans son auto depuis.
Elle réfléchit d’ailleurs à la possibilité de porter plainte contre le garage qui lui a affirmé qu’il n’y avait aucun problème.
« Je pensais pouvoir lui faire confiance, je n’y connais rien en voiture. C’est certain que je lui en veux », dit-elle.
Mme Amoura et M. Bilodeau espèrent que leur histoire sensibilisera la population aux dangers du monoxyde de carbone quand il n’est pas bien évacué.
« J’étais la première à me dire que ça n’arrive qu’aux autres, mais c’est un gaz sournois.
« Je n’avais pas prévu de mourir ce jour-là », conclut la jeune femme.
Qu’est-ce que le monoxyde de carbone (CO)?
Le monoxyde de carbone se dégage lorsque des appareils ou des véhicules brûlent certains combustibles.
C’est un gaz toxique qui ne se voit pas, qui ne se sent pas et qui n’irrite pas les yeux ou les voies respiratoires.
Seul un avertisseur de monoxyde de carbone peut en détecter la présence.
Les effets du CO dans l’air
200 parties par millions (ppm) = Maux de tête 2 à 3 heures après l’exposition.
600-700 ppm = Maux de tête et nausées 1 heure après l’exposition.
1600 ppm = Symptômes en 20 minutes. Perte de conscience, coma et mort 2 heures après l’exposition.
3200 ppm = Symptômes en 5 minutes. Coma et risque de mort en 30 minutes.
6400 ppm= Symptômes en 1 à 2 minutes. Coma et risque de mort en 15 minutes.
Source : Ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS)
L’acteur et ancien gouverneur de la Californie Arnold Schwarzenegger a été impliqué dans un accident de voiture, vendredi en début de soirée, à Los Angeles.
Quatre véhicules sont entrés en collision vers 16h35 sur le célèbre Sunset boulevard, à l’angle de l’avenue Allenford, dans le quartier de Brentwood, selon CNN.
Une femme a été transportée à l’hôpital pour traiter une blessure à la tête, selon le service de police de Los Angeles (LAPD).
Le corps policier n’a toutefois pas précisé si l’acteur de 74 ans était au volant au moment de l’accident ou s’il était passager.
«L’alcool et la drogue ne sont pas en cause dans cette collision. Toutes les personnes impliquées sont demeurées sur la scène», a indiqué le LAPD dans un communiqué consulté par CNN.
L’acteur n’a pas été blessé, a aussi confirmé la police.
Une journaliste de la Virginie-Occidentale a été heurtée par une voiture alors qu’elle couvrait en direct le bris d’une conduite d’eau dans la région, mercredi soir.
Tori Yorgey de la chaîne WSAZ-TV parlait à la caméra lorsqu’une voiture s’est approchée à grande vitesse, la heurtant de plein fouet.
La journaliste a été projetée hors caméra. «Oh on Dieu, je viens de me faire renverser par une voiture!», peut-on l’entendre sur les images.
«Je vais bien. Nous allons tous bien», ajoute-t-elle en voulant se faire rassurante, même si elle semble sous le choc, rapporte le Post Gazette.
Elle a ensuite réapparu devant la caméra en avisant qu’elle devait peut-être changer de place pour poursuivre son direct.
L’événement s’est produit alors qu’elle en était à sa dernière semaine de travail pour la chaîne.
La femme de 25 ans travaille pour WSAV-TV depuis trois ans.
Plusieurs l’ont félicité d’avoir gardé son sang-froid et être restée à l’antenne malgré l’accident violent.
«Toute ma vie a défilé devant mes yeux, mais c'est la télévision en direct et tout va bien.»
Une étude menée par la firme Léger pour le compte de Turo Canada, la plateforme d’autopartage, révèle que bien que 83 % des Canadiens possèdent ou louent un véhicule, ce même véhicule demeure inutilisé 95 % de l’année. Les conducteurs canadiens ont donc roulé un peu plus depuis 2019, puisque la dernière étude commandée par Turo avait conclu que les voitures restaient inutilisées 96 % du temps, ce qui se traduisait par 380 heures passées derrière le volant par année, contre 400,6 heures pour ce nouveau sondage réalisé au mois de novembre dernier auprès de plus de 1 500 répondants âgés de 18 ans ou plus.
Avec le télétravail qui gagne en popularité, il est de plus en plus normal que les heures passées au volant ne soient pas très élevées, et ce, même s’il y a une légère augmentation constatée grâce à l’étude.
Au Québec, les chiffres sont très similaires à ceux du reste du Canada avec 84 % des Québécois qui possèdent ou louent une voiture, avec un taux d’inutilisation de 95,7 %. Les Québécois utilisent donc un peu moins leur véhicule, un facteur assurément relié à la pandémie. En effet, 50 % des répondants de la belle province ont déclaré qu’ils utilisaient moins fréquemment leur véhicule, tandis que 18 % d’entre eux affirment qu’ils l’utilisent beaucoup moins.
Malgré cette inutilisation très étendue, 81 % des répondants canadiens estiment qu’il leur est impossible de ne pas posséder de voiture, cette proportion qui est de 90 % du côté québécois. La commodité (31 %), les déplacements quotidiens (30 %) et le désir de liberté (17 %) constituent les raisons évoquées par les répondants du sondage au Canada. Au Québec, les trois mêmes raisons sont évoquées, mais à des pourcentages différents : commodité (30 %), déplacement quotidiens (26 %) et désir de liberté (25 %).
La firme Turo a également sondé les répondants sur leur utilisation d’un service d’autopartage au cours des 18 derniers mois. À ce sujet, seulement 8 % des Canadiens l’ont fait, tandis que 6 % des Québécois ont fait appel à cette alternative de transport. En revanche, 13 % des répondants se montrent ouverts à l’idée d’abandonner sa voiture au profit de modes de transports alternatifs (transport public, covoiturage ou autopartage), une proportion qui fond comme neige au soleil au Québec avec seulement 7 % des Québécois sondés.
Quant à l’intérêt des répondants pour la voiture électrique, 35 % des Québécois prévoient de faire l’achat ou la location d’un véhicule électrique, une différence marquante avec le reste du pays qui est de 21 %. Les rabais gouvernementaux disponibles au Québec sont certainement à l’origine de cet intérêt franchement plus élevé. À l’inverse, 28 % des Québécois prévoient d’acheter un véhicule à moteur à combustion interne, contre 42 % des Canadiens.
L’adoption de la technologie électrique est encore lente, alors que 79 % des répondants ont cité le coût élevé (29 %) et l’autonomie (24 %) comme principales raisons de ne pas en acheter une. Selon l’étude 86 % des Canadiens n’ont jamais conduit un véhicule électrique. Toutefois, 66 % (67 % au Québec) d’entre eux ont déclaré qu’ils seraient favorables à l’acquisition d’un véhicule électrique s’ils avaient la possibilité d’en conduire un pendant quelques jours avant de prendre une décision.
L’organisme Turo rappelle qu’il compte actuellement plus de 750 véhicules zéro émission sur sa plateforme canadienne.
Le suspect a comparu au palais de justice de Joliette le 18 janvier pour faire face à un total de 7 chefs d’accusation.
Le 18 janvier dernier, les policiers du SPVR ont arrêté Stuart Rosario Bautiste, en flagrant délit de vol d’un Honda Passport. Étant donné les nombreux vols de véhicule Honda survenu récemment sur notre territoire, un agent du SPVR a tenté d’intercepter le véhicule durant la nuit. Le suspect a tenté de fuir sur l’autoroute 40 mais le véhicule s’est enlisé dans la neige. Il fut arrêté sur place.
Le suspect a comparu au palais de justice de Joliette le 18 janvier pour faire face à un total de 7 chefs d’accusation. Son enquête sur remise en liberté aura lieu aujourd’hui au palais de justice de Joliette. Il fait face aux accusations suivantes :Vol de véhicule, recel, poursuite, conduite dangereuse et 3 bris de conditions.
En tout temps, vous pouvez communiquer de l’information de façon confidentielle à Échec au crime au 1-800-711-1800.
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Une automobiliste téméraire qui s’est retrouvée en mauvaise posture sur le toit de sa voiture en train de s’enfoncer dans les eaux du canal Rideau, dimanche, n’a rien trouvé de mieux à faire qu’immortaliser ce moment avec un égoportrait, tandis que des voisins se précipitaient à son secours.
Tout a commencé lorsque la jeune femme s’est mise en tête de foncer à vive allure sur le cours d’eau gelé à Manotick, au sud d’Ottawa, au volant de sa petite voiture jaune, en fin d’après-midi.
Cette mauvaise idée s’est finalement avérée coûteuse pour l’automobiliste, qui a défoncé la glace avec son bolide.
C’est à ce moment que la situation a pris une étrange tournure. Loin de paniquer, la jeune femme s’est hissée sur le toit de sa voiture et a jugé bon de se prendre en photo sur sa voiture en train de couler, un moment ironiquement photographié par une voisine qui a assisté à la scène.
Malgré tout, de nombreux voisins ont accouru pour porter secours à l’imprudente, montre des images obtenues par la chaîne radio 580 CFRA.
Un témoin de la scène, Zachary King, a raconté à CTV News qu’un de ses voisins avait amené une corde et s’est précipité pour aller chercher un kayak. «J’étais en train de démêler la corde, il est revenu, nous l’avons attaché au kayak et nous l’avons envoyé [vers la jeune femme]», a-t-il résumé.
Une autre vidéo permet de voir la jeune femme se faire tirer sur la glace dans le kayak, pour se reprocher du bord du canal.
La police d’Ottawa a indiqué que la jeune femme a été arrêtée et accusée au criminel pour conduite dangereuse.
La division maritime de la police, elle, a précisé que la conductrice n’a pas été blessée et en a profité pour rappeler qu’il faut toujours être prudent lorsqu’on s’aventure sur un cours d’eau gelé.
Le futur des courses automobiles pourrait bien se tourner vers les véhicules autonomes, du moins une partie. Et le fait est que cette technologie est en train de prendre de sacrées proportions.
Lors du CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas, une course spéciale s’est tenue. Le Indy Autonomous Challenge a donc laissé la piste à des voitures dépourvues de conducteur pour s’affronter sur une course de vitesse.
Et nous allons voir ici la grande gagnante de cet affrontement, la Minerva ! Conçu par les équipes de l’écurie Polimove qui représente les Universités Polytechnique de Milan et d’Alabama, ce bolide a presque battu le record de vitesse pour une voiture autonome.
En effet, ce dernier est actuellement de 281 km/h et est détenu par l’entreprise britannique Roborace. Mais vous allez le voir dans cette vidéo, cette performance a bien failli être dépassée grâce à une allure de 278 km/h, rien que ça !
Watch this self-driving racecar go 173 mph with no human driver inside.
En glanant la première place de cette course opposant 7 écuries différentes, l’équipe italo-américaine a empoché une superbe prime de 150.000$ pour développer leur technologie.
Sergio Savaresi, directeur de l’écurie s’est d’ailleurs félicité de cette victoire :
“Aujourd’hui, a été la véritable naissance de la course autonome. La vraie, à grande vitesse, a été poussée dans ses limites. La recherche sur la voiture autonome bénéficiera certainement de cette étape historique”.
Et il est vrai que, dans l’histoire de l’automobile, les sports mécaniques ont toujours permis à l’industrie de se développer.
Le Service de police de Saguenay (SPS) est intervenu samedi soir à La Baie pour un accident sur fond de capacités affaiblies n’impliquant qu’un seul véhicule. La voiture était renversée sur le côté à l’arrivée des policiers, mais le conducteur n’a pas été blessé.
Encore peu développé il y a quelques années, le volume des voitures électriques d’occasion ne cesse d’augmenter. Quel modèle de voiture électrique d’occasion choisir pour un budget d’un maximum de 10 000 euros ?
Aujourd’hui, un automobiliste retrouvera rapidement sur le Web quelques milliers de voitures électriques proposées à un prix maximum de 10 000 euros. Lors de la rédaction du présent article, nous avons par exemple dénombré, répondant à ces critères, 2 093 offres sur Le bon coin, 1 067 avec La centrale, 390 en passant par ParuVendu, 1 088 à partir de L’Argus.
Plus encore que sur le marché de l’occasion classique, les prix ne tiennent pas toujours compte de l’année et du kilométrage.
Avec des modèles s’appuyant sur des conceptions qui commencent à dater (une dizaine d’années), l’autonomie après recharge s’inscrira le plus souvent dans une fourchette de 75-150 km, selon modèle, ancienneté, chiffres au compteur et usage.
La location de la batterie pour les véhicules électriques d’occasion
Même si ce n’est pas indiqué dans l’annonce, il est important de se faire préciser immédiatement si une location de la batterie est attachée au véhicule électrique d’occasion qui vous intéresse.
Les Renault Z.E., Bolloré et Smart ont longtemps été commercialisés neuves avec cette contrainte. Cette dernière peut aussi être perçue comme une garantie de santé du pack que le constructeur s’est engagé à échanger si la capacité descend en dessous d’un certain seuil. Bien vérifier le contrat de location, à la recherche en particulier d’une échéance datée de fin contrat.
Quelles voitures électriques d’occasion éviter ?
Si vous n’avez pas l’habitude des voitures électriques et que vous ne souhaitez pas être ennuyé, il faut éviter 3 catégories principales de voitures électriques d’occasion. Quelles sont les voitures électriques d’occasion les moins fiables ?
Tout d’abord les modèles embarquant des technologies dépassées de batteries, comme le plomb présent longtemps dans les Piaggio Porter, et le nickel-cadmium des anciens Renault Kangoo et Clio, Peugeot 106 et Partner, Citroën AX, Saxo et Berlingo. Ces véhicules sont trop compliqués à entretenir aujourd’hui, sauf à vouloir vraiment s’en donner la peine.
À supprimer également de la liste des possibles les Renault Fluence au moteur peu fiable et aux batteries spécifiques épuisées chez le constructeur.
Et puis, surtout, ne cédez pas aux prix plus ou moins alléchants des Bolloré Bluecar et de leurs dérivées Bluesummer et Citroën E-Méhari. Non seulement elles figurent parmi les voitures électriques les moins agréables à conduire, mais en plus leurs batteries LMP (Lithium métal polymère) doivent être conservées à une température de l’ordre de 60 °C. Ce qui impose quasiment de les laisser branchées quand elles ne roulent pas, avec une consommation électrique qui est loin d’être négligeable.
Quelle petite voiture électrique d’occasion choisir ?
Renault ZOE d’occasion : une très bonne affaire
Pour la tranquillité et la perspective de réaliser une belle affaire : privilégiez la Renault Zoé d’occasion. Son premier atout est d’exploiter au maximum les chargeurs AC 22 kW que l’on trouve désormais quasiment partout en France. En une heure, la batterie est pleine. Le risque de se retrouver coincé à cause d’une panne d’énergie ou de devoir attendre longtemps devant une borne pour rentrer chez soi est très limité avec la polyvalente du Losange.
En outre, le réseau des concessionnaires capables d’entretenir une Renault Zoé d’occasion est très dense, y compris dans les zones rurales.
Aujourd’hui, pas loin de la moitié des voitures électriques proposées d’occasion à 10 000 euros au plus sont des Renault Zoé. Il y en a donc forcément plusieurs pas trop éloignées de chez vous. Cette abondance est une chance pour les acheteurs qui peuvent en profiter pour faire baisser les prix. D’autant plus si la batterie est en location.
Pas de gros défauts sur la Renault Zoé d’occasion
Maintenant que la plupart de ses défauts de jeunesse (problème de terre à la recharge, absence d’un câble pour recharger chez soi, obligation de location de batterie, etc.) ont été éliminés, la Renault Zoé, dans ses exemplaires commercialisés il y a plus de 5 ans, se montre fiable, agréable à utiliser au quotidien, et suffisamment équipée.
Discrète, elle n’attire pas les voleurs ni ne provoque les casseurs. C’est important si votre voiture doit dormir dans la rue.
Parmi les autres arguments qui peuvent séduire : son origine française, puisque fabriquée à Flins-sur-Seine (78), et une communauté assez active d’utilisateurs. En bref, la Renault Zoé d’occasion est la voiture électrique polyvalente la plus facile à vivre au quotidien. Certains de ses anciens propriétaires sont revenus à elle après un passage plus ou moins long par la concurrence.
Les citadines C-ZiMiOn
Basées sur la Mitsubishi i-MiEV, les Peugeot iOn et Citroën C-Zero sont également très présentes aujourd’hui sur le marché des voitures électriques d’occasion à moins de 10 000 euros. Si elles peuvent apparaître un peu dépassées face aux nouveautés, ces citadines électriques n’ont cependant pas à rougir devant une Dacia Spring.
Il y a 10 ans, elles proposaient tout de même de série la climatisation avec air conditionné automatique, la recharge rapide 50 kW (en CHAdeMO), le verrouillage centralisé télécommandé avant repli des rétroviseurs, 4 vitres électriques, des feux diurnes, 2 porte-gobelets rétractables, l’adaptation automatique de la luminosité de l’afficheur, un compresseur électrique pour regonfler les pneus, le volant et le pommeau de sélecteur de marche en cuir avec surpiqûres, etc.
Avec leur vivacité, leur empreinte au sol réduite à 3,48 x 1,47 m, leur rayon de braquage de 4,50 m sur une direction assistée très précise, le grand coffre plat très exploitable une fois le dossier en 2 parties de la banquette rabattu, ces puces sont parfaites à utiliser en ville.
Il sera alors possible de compter encore sur 70-90 km d’autonomie dans cet environnement. Sur route, elles se montrent en revanche sensibles au vent latéral. Leur abondance sur le marché des véhicules électriques d’occasion autorise à discuter les prix lorsqu’ils apparaissent trop élevés.
3 autres modèles intéressants de voitures électriques d’occasion à moins de 10 000 euros
Selon les goûts et les besoins, il reste quelques modèles intéressants qui méritent d’être mis en avant. Dans la catégorie des citadines électriques, on trouve également les Smart Fortwo ED. Elles souffrent surtout d’être trop rares, donc affichées à des prix relativement élevés avec, en plus, une location de batterie à acquitter mensuellement.
Encore moins fréquente, mais à ne pas laisser passer, car très efficace en ville et sur route : la Volkswagen e-Up!. Bien sûr, la seconde génération est encore mieux dotée et se décline en Seat e-Mii et Skoda Citigo iV. Mais pour les trouver à moins de 10 000 euros, il va falloir attendre un peu.
Seule berline compacte accessible sous ce seuil, la Nissan Leaf offre de l’espace et du confort à bord. Il y a 4 ans, on n’en trouvait que 2 dans cette gamme de tarifs sur Le Bon Coin. Il y en a 140 de plus aujourd’hui. Attention cependant, beaucoup sont associées à des formules Flex de location de batterie. C’est mieux pour la longévité du pack, apprécieront pas mal d’acquéreurs potentiels. Le modèle n’étant pas très demandé, n’hésitez pas à discuter le prix s’il semble trop élevé face à la concurrence.
Quels sont les modèles de véhicules électriques d’occasion qui arrivent sur le marché ?
Enfin, avec un peu de patience, 3 voitures devraient prochainement rejoindre le marché des électriques d’occasion à 10 000 euros au plus.
Tout d’abord l’excellent « SUV urbain » Kia Soul EV qui se présentera alors comme le modèle le mieux équipé. Sa robuste batterie et son réseau de concessionnaires plutôt dynamique le rendent à la fois fiable et évolutif. Les mises à jour du système sont parfois bluffantes, avec de nouvelles fonctionnalités étonnantes, comme des ambiances (feu de cheminée, marche dans la neige, terrasse de café, pluie, mer, etc.).
S’il arrive pas mal de ce modèle en occasion aujourd’hui, c’est en particulier parce que le constructeur enchaîne les nouveaux modèles (e-Niro, et maintenant EV6). Un argument valable aussi pour la Volkswagen e-Golf dépassée par l’ID.3. Elle se présentera à moins de 10 000 euros principalement comme alternative à la Zoé. Sans forcément déchaîner les passions.
La Smart Forfour, dans cette même gamme de prix, séduira surtout les inconditionnels.
Bien essayer le véhicule électrique d’occasion avant d’acheter
L’idéal, c’est de disposer de l’engin lorsque le pack a été complètement régénéré. Ensuite, à vous d’essayer le véhicule électrique en ville et sur route dans vos conditions habituelles d’utilisation. À modérer éventuellement avec le fait que l’écoconduite s’impose pleinement avec les VE mis en circulation il y a plus de 6 ou 7 ans.
Dans votre comparatif d’autonomie, il faudra tenir compte que les chiffres étaient souvent indiqués selon le standard trop optimiste NEDC. Comptez en outre une possible réduction du rayon d’action de l’ordre de 15-30 % en fonction de l’âge et du kilométrage. Ensuite, c’est au prix d’être adapté en conséquence.
Au besoin, interrogez un concessionnaire de la marque sur les tarifs de remplacement du pack, s’il n’est pas garanti par une location. Sachez en outre qu’il existe des kits pour tester la santé des batteries.
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